Mon stage chez New Life
Datte: 01/12/2018,
Catégories:
fhhh,
fsoumise,
strip,
Oral
fdanus,
fsodo,
délire,
humour,
... l’absence de sa camarade. — Elle s’est fait virer du stage…— Hein ? Mais quand ça ?— Hier soir ! Cinq paires d’yeux ont immédiatement convergé vers notre mascotte blonde. — On était sur le point d’aller se coucher. Elle avait à peine effleuré la poignée de sa porte que Gandalf bondissait hors de la chambre, un carnet de notes à la main et un minuscule appareil photo en prime. Tout ça appartenait à Anne-So… s’il s’agit réellement de son prénom.— Quoi ?— C’est une journaliste, Patrick ! Elle s’est inscrite sous une fausse identité pour écrire un article sur New Life et sa cure miracle.— Je le sentais depuis le début ! s’est exclamé Ludo. Y avait un truc qui sonnait faux chez cette nana. Ses histoires de cul n’étaient pas crédibles ! Je restais dubitatif de mon côté. Les relations équivoques avec son père, sa haine contre cette mère qui faisait semblant de ne rien voir mais couvrait tout… Il y avait de tels accents de vérité dans sa voix ! OK, il s’agissait d’une intello et elle en savait plus long que quiconque sur la prise en charge et le traitement des addictions sexuelles. Mais rien ne prouvait qu’elle se soit infiltrée parmi nous pour pondre un papier à sensation. — Ils lui ont piqué ses photos, mais c’est pas ça qui l’empêchera de sortir un reportage, a dit Christian, un gars qu’on n’entendait pas très souvent vu qu’il passait son temps à loucher sur Marianne. J’espère juste qu’elle changera les prénoms… « Changer les prénoms… » Cette simple phrase a suffi à répandre la ...
... terreur dans mon esprit. Et si Anne-So était réellement journaliste ? Et si elle déballait nos thérapies de groupe pour faire mousser son papier ? J’imaginais déjà le titre de l’article : « Mon stage chez New Life », avec un luxe de détails graveleux sur nos vies et ce qui nous avait conduits jusqu’ici… Merde ! Et moi qui n’avais avoué que le dixième de mes turpitudes à Nathalie ! J’imaginais ma femme en train d’apprendre le reste, en lisant un magazine chez son coiffeur ou son esthéticienne… — Oh putain ! La salope ! -oOo- J’ai fini par trouver mon rythme au milieu de mes compagnons. Le déballage matinal n’était plus aussi humiliant, et il y avait cette impression réconfortante de ne pas être seul face au cycle infernal de la concupiscence (un joli mot tiroir à lui tout seul), du passage à l’acte et du sentiment de déchéance post-coïtal. Bien qu’elle continuât à me faire magistralement la gueule, je téléphonais à Nathalie deux fois par semaine. Toujours insensible à mes demandes de pardon, mes excuses tardives, elle continuait néanmoins à prendre mes appels. C’était un lien ténu, mais un lien quand même. Puis, vers le milieu du stage, tout a basculé. C’était en pleine nuit, je faisais un rêve érotique où ma femme, pour une fois, me taillait une pipe d’enfer (c’est dire l’envie que j’avais de la retrouver !) quand on m’a brutalement secoué par l’épaule. — Réveille-toi, Patrick !— Brrrpmf… Quoi ? C’est déjà l’heure ?— Ouais, l’heure de tirer son coup ! a ricané quelqu’un dans ...