1. Mon stage chez New Life


    Datte: 01/12/2018, Catégories: fhhh, fsoumise, strip, Oral fdanus, fsodo, délire, humour,

    ... bruts, tels qu’ils s’étaient produits. Au courant de rien, innocent comme l’agneau, on m’avait tiré du lit pour une simple partie de cartes (OK, de « strip-poker » – c’est vrai, entre quatre obsédés du cul, y avait toutes les chances que ça dégénère). Une fois la partouze lancée, je n’avais rien pu faire, étant moi-même tétanisé par ce qui se passait autour de moi. J’étais prêt à tout pour prouver mon envie d’être soigné, jusqu’à me mettre à genoux devant le vieux barbu pour qu’il m’épargne. Tout, pourvu qu’on ne dise rien à Nathalie et qu’on ne me renvoie pas chez moi illico ! Finalement, Luc et Deborah sont venus me chercher. La jeune femme avait l’air désolé pour moi. C’est elle qui m’a annoncé l’exclusion de Marianne et Ludo. Pour Christian, c’était encore en débat. Évidemment, les décisions du Maître étaient applicables dans l’instant, sans possibilité d’appel. J’ai trouvé ça dégueulasse : c’est quand même Christian qui était à l’origine de tout ce gâchis ! Sans ses compétences techniques et sa fixation sur la petite blonde, rien ne serait arrivé ! C’est donc en état de choc que je suis entré dans le bureau de Gandalf, un voile gris devant les yeux. Au moment de m’asseoir, je me suis soudain rendu compte qu’il n’était pas seul. Installé à la droite de Dieu, cette fouine de psychologue me fixait avec autant de sympathie qu’un étron grouillant d’asticots. -oOo- — Puisque je vous dis que je veux guérir ! Mon compte était bon. Le psy doutait franchement de ma motivation à ...
    ... changer et, pire, il avait réussi à persuader Gandalf que j’étais irrécupérable. Pour lui, je n’étais qu’un queutard terrifié à l’idée de perdre sa femme, prêt à toutes les compromissions pour passer entre les mailles du filet. À ma grande honte, je dois bien admettre que cette ordure n’avait pas tout faux… — OK, je comprends quand vous dites qu’on ne peut pas soigner les gens malgré eux. Mais je suis certain qu’il existe une solution pour CHAQUE cas ! Si vous le vouliez vraiment, vous pourriez m’aider !— Mouais, exact, avait tranché le psy. On pourrait vous lobotomiser… Je n’ai pas essayé de savoir s’il plaisantait. Le mothumour ne semblait pas faire partie de son dictionnaire. — Ce n’est pas si simple, Patrick, a tempéré Gandalf. Rappelez-vous mon discours aux nouveaux : seuls ceux qui s’impliquent personnellement peuvent s’en sortir…— Pourquoi !?— Pourquoi quoi ?— Pourquoi ne pourriez-vous pas aider les gens qui ont… quelques faiblesses de caractère, on va dire. Pour les fumeurs, y’a bien les patchs à la nicotine, les anneaux gastriques pour les obèses, les éthylotests et les flics pour les ivrognes.— Ridicule, avait fait le psy. Vous voudriez quoi ? Une castration chimique ? Vous n’êtes pas un violeur, Hibanez, juste un pervers moyen. Dans sa bouche, le terme « moyen » devenait presque insultant. Lui, par contre, était un salopard de tout premier ordre ! — Intéressante, cette comparaison avec l’alcoolisme, a intercédé Gandalf. En un sens, les addictions sexuelles sont ...
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