1. L'été de mes 18 ans 22


    Datte: 02/12/2018, Catégories: Lesbienne

    ... un texto à Joséphine, en lui donnant rendez-vous à la terrasse du bar des amis en lui précisant que j'avais une surprise et qu'elle devait faire comme si nous ne nous connaissions pas. Bien sûr, elle accepta d'emblée. En attendant l'heure, nous allâmes au parc. Vers midi, nous allâmes nous installer à la terrasse du café. J'avais tout de suite repéré Joséphine et je guidai Clotilde à une table toute proche et je m'installai en tournant le dos à Joséphine. Nous papotions tranquillement lorsque je vis Clotilde fixer un point derrière moi et se mettre à rosir. Jouant l'étonnée, je lui demandai ce qui se passait. Elle balbutia ; « Il y a une jolie femme derrière toi. Et euh... elle a posé un pied sur la chaise devant elle et je vois tout! » « Comment ça, tout? » « Elle est en jupe et elle n'a pas de dessous non plus! » « Humm! Je crois que tu as une touche. Tu sais quoi, je vais aller aux toilettes et on va voir ce qui se passe. » A peine hors de vue de Clotilde, je mis un texte à Joséphine en lui disant d'aller aborder Clotilde en lui faisant des compliments sur sa tenue et son corps. Puis j'attendis quelques minutes. Lorsque je regagnai la terrasse, je vis Joséphine assise à côté de Clotilde. Elle n'avait pas perdu son temps : elle avait déjà posé une main sur la cuisse de Clotilde. Je m'approchais et dis : « Ah, tu as retrouvé une amie? » Clotilde rougit comme une pivoine et bégaya : « Euh oui, c'est une vieille copine de lycée. Nous nous sommes retrouvées par hasard. Je ...
    ... n'étais pas sûre, mais elle m'a reconnu tout de suite. » Je me rassis à côté d'elles. Je fis mine de m'absorber dans un magazine, les laissant papoter. Joséphine n'était manifestement pas insensible aux charmes de Clotilde. Tout en lui parlant, elle s'était rapproché d'elle et, profitant que la table masquait ses gestes, sa main était remontée, entrainant la jupe avec elle. Je voyais Clotilde faire ce qu'elle pouvait pour masquer son trouble mais j'entendais sa respiration s'accélérer et elle tressautait par moments sous les attouchements de Joséphine. Cette dernière faisait tout pour l'exciter. Lorsqu'elle sentit qu'elle était mure, elle dit : « Venez donc prendre un café chez moi, j'habite à deux pas. » « Ben oui, pourquoi pas? », répondis-je sans laisser à Clotilde le temps d'hésiter. Arrivées chez Joséphine, celle-ci nous fit asseoir dans le canapé puis elle alla à la cuisine faire le café. J'en profitais pour bécoter Clotilde et entretenir son excitation en pinçant ses pointes de seins à travers le chemisier. Puis Joséphine revint avec un plateau et le café. Elle nous servit puis s'assit à côté de nous. Clotilde était prise en sandwich entre Joséphine et moi. Joséphine se pencha sur Clotilde et se mit à lui faire des bisous dans le cou, sur le visage, puis ses lèvres atteignirent sa bouche. Un long baiser s'ensuivit. J'en profitai pour caresser les cuisses de Clotilde et remonter jusqu'à sa fourche. Puis tandis que Joséphine continuait ses baisers et palpait en même temps les ...