1. Travail d'artiste (1/2)


    Datte: 02/12/2018, Catégories: fh, ff, 2couples, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, fdanus, init, couple, entrecoup,

    ... Je distinguai son odeur corporelle, nette et épicée, mélangée à d’autres senteurs : sangria, eau de toilette, piscine et végétation environnante. — Tu n’as pas honte ? lui soufflai-je.— Non.— Tu as vu dans quel état tu as mis cette pauvre fille ?— Elle n’est pas pauvre, dit Charline. Et je l’ai juste un peu échauffée. Je jetai un regard vers la balancelle. Ben avait pris le relais, suçant, léchant, pétrissant. Nous entendîmes Mieke pousser de petits cris. — Juste échauffée, c’est ça ? ironisai-je. Charline se dressait sur la pointe des pieds, sa bouche tout près de la mienne. — Étends-toi quelque part, dit-elle. Je vais te faire la même chose.— Je t’interdis de me peloter. Elle avait déjà glissé une main dans mon pantalon, qu’elle déboutonna avec expertise. — Arrête ! On nous regarde ! protestai-je tout en la laissant agir.— Ils sont trop occupés, dit-elle. D’ailleurs, je m’en fous qu’on nous regarde. Et même, ça m’excite. Elle ne mentait pas. D’ordinaire, Charline affichait déjà un fameux tempérament, mais ce soir-là, elle avait probablement décidé de se surpasser. Elle me poussa vers l’arrière dans un fauteuil pour m’enlever chaussures et chaussettes, ainsi que le pantalon qui était tombé sur mes chevilles. Je vis, en face de moi, que Ben s’était hissé sur la balancelle et avait pris la place de Charline entre les jambes de son épouse. Il lui avait même glissé un coussin sous les fesses pour pouvoir lui lécher la vulve plus confortablement. Mieke secouait la tête de ...
    ... gauche à droite et je l’entendis à nouveau gémir et murmurer quelques mots que je ne compris pas. La belle Néerlandaise devait certainement exprimer plus spontanément son extase dans sa langue maternelle ! Je me désintéressai soudain de l’affaire, car Charline venait de s’emparer de la mienne au travers de mon slip distendu. — Toi aussi, ça t’excite, dit-elle. À genoux devant moi, elle commença à me caresser par-dessus le vêtement et je me rendis compte que j’étais sérieusement échauffé. Je fis relever Charline tout en me redressant moi aussi, et nous fûmes debout l’un en face de l’autre. Elle n’avait pas lâché mon sexe, au travers du caleçon, et continuait à le flatter. Je glissai une main vers son entrejambe, et l’abondance de mouille que je rencontrai me confirma les torrides dispositions de ma chérie. Le contact de mes doigts sur son intimité la fit frémir, elle se serra davantage contre moi et de sa main libre me saisit la nuque. Nos bouches se trouvèrent spontanément, nos langues se mêlèrent tandis que nos mains continuaient à s’affairer. Charline eut un nouveau frisson lorsque mes doigts trouvèrent son clitoris. Je sentis sa main qui se crispait davantage autour de mon membre, marquant un temps d’arrêt. — Ohlala… souffla-t-elle, ses lèvres contre les miennes.— Y avait pas quelque chose dans la sangria ?— Faudra demander la recette. Les gémissements de Mieke nous parvinrent à nouveau. Ben utilisait la langue et les doigts pour titiller le bourgeon offert à la caresse. Mieke ...
«12...242526...30»