Travail d'artiste (1/2)
Datte: 02/12/2018,
Catégories:
fh,
ff,
2couples,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
fdanus,
init,
couple,
entrecoup,
... et chaude de son vagin ruisselant. Je sentais la mouille baver sur ma cuisse et mes testicules alors que ma bouche et mes doigts s’affairaient sur son corps pour lui procurer de multiples sensations. Elle pressa sa tête contre la mienne, je poursuivis mes caresses et mes mouvements, très doucement, mais ma bouche abandonna son mamelon. Je tournai mon visage vers le sien, mon regard rencontra un instant le vert sombre de ses yeux, puis nos souffles se mêlèrent et nos lèvres se joignirent à l’instant où Charline frémissait de plaisir. Elle me mordilla la langue. Sa main serra la mienne par-dessus nos sexes unis, tandis qu’elle se laissait gagner par les spasmes de la jouissance. J’éprouvai une folle envie de la rejoindre dans l’orgasme, de donner les derniers coups de reins qui me feraient déverser ma semence au plus profond de son intimité, mais je remis à plus tard la recherche du point culminant de mon plaisir. Je ne voulais pas que cela s’arrête si rapidement. Nos bouches se séparèrent. Levant les yeux, j’eus un brusque sursaut. Debout à l’entrée du salon, nos hôtes nous observaient. Je fis un mouvement pour me redresser, mais Charline me retint. — Continuez, dit Mieke en souriant. C’est tellement beau ! Ben était derrière elle, la tenant dans ses bras et nous regardant par-dessus son épaule. Elle se laissait aller contre lui et, joue contre joue, ils semblaient tous deux ravis d’être là. — Désolé… commençai-je, mal à l’aise.— Mais oui, ajouta Ben en embrassant son épouse ...
... sur l’oreille. Ne vous occupez pas de nous. « Facile à dire ! » pensai-je en les voyant s’asseoir gentiment à l’autre bout du salon. Charline poussa doucement sur ma poitrine pour que je m’allonge à nouveau. — T’en fais pas, murmura-t-elle en se penchant sur moi, un sourire gourmand sur les lèvres. « Je ne m’en fais pas, tout va bien », me rassurai-je. J’étais sûr que la coquine savait qu’ils nous regardaient. Elle les avait sans doute vus entrer pendant que je la tétais goulûment. « C’est sans doute pour ça qu’elle était aussi excitée », me dis-je ironiquement tout en constatant que de mon côté, c’était plutôt la débandade. Mater est une chose, mais s’exhiber et restercool se révélait être une tout autre affaire ! Charline se plaça à califourchon au-dessus de moi et me caressa le ventre, puis elle se pencha pour m’embrasser, ce qui m’obligea à cesser de regarder nos hôtes. Les pointes de ses seins vinrent chatouiller ma poitrine, celui de sa langue suivit les courbes de mes lèvres pendant qu’elle posait sensuellement sa toison pubienne sur mon membre défaillant. Elle frotta son buste contre le mien, descendit doucement en l’embrassant. Ses mains se posèrent sur mes hanches, ses lèvres sur mon ventre, un bout de langue taquina mon nombril. Je fermai les yeux, je ne voulais rien voir, et surtout ne pas tourner la tête vers nos hôtes qui, je le supposais, nous regardaient tranquillement. J’imaginai qu’ils s’occupaient d’eux-mêmes plutôt que de nous, qu’ils faisaient l’amour, là, ...