1. Sandra rencontre une jolie remplaçante


    Datte: 08/08/2017, Catégories: ff, médical, Oral 69,

    ... me levai pour aller me laver les mains, essayant de me donner une contenance, consciente du terrain glissant où l’on s’engageait. En revenant au salon, Delphine avait gardé la même position et me dévisageait. — Alors ces moyens, c’est quoi ? insista-t-elle. Je souris : — Je suis sûre que tu connais les mêmes que moi.— Peut-être… dit-elle en se levant de son canapé. En un pas, elle fut contre moi et je ne pus la retenir. Sa bouche se posa tendrement sur la mienne et sa langue, loin d’être timide, se faufila entre mes lèvres. Un baiser au goût de café lança un ballet sensuel. Son corps souple et fin se colla contre le mien plus lourd, et je la laissai découvrir mes formes avec délice. Rapidement, ses mains remontèrent vers ma poitrine, empaumant mon tee-shirt avec douceur. — Le jour où tu es venue en consultation, je rêvais de caresser tes seins, murmura-t-elle d’une voix sensuelle.— Et moi que tu le fasses… Lentement, sans la quitter des yeux, j’ôtai mon tee-shirt, lui révélant mon soutien-gorge bien rempli puis, dans le même mouvement, défis mon pantalon qui tomba à terre. Debout, sûre de mon charme, je m’exhibais dans les mêmes dessous que lors de ma visite médicale. Delphine ne disait plus rien, mais son regard parlait pour elle. Les yeux pleins de désir, elle m’imita pour se retrouver en string et soutien-gorge de dentelle blanche. — Viens, me dit-elle doucement. Je pris sa main pour la suivre dans sa chambre où un grand lit nous accueillit bientôt. Allongées, ...
    ... silencieuses, nous nous faisions face, mes doigts courant lentement sur sa hanche. Je la sentais sur la défensive et cela m’interpellait. Allait-elle me bâcher maintenant alors qu’elle m’avait allumée ? Allait-elle me dire qu’elle avait une copine, ou pire, un mari ? Je lui souriais pour la mettre en confiance et elle se lança. — Tu sais, j’ai fait ma maligne tout à l’heure, mais je ne suis pas experte.— Et c’est important ?— Pour moi, oui, poursuivit elle ; je ne voudrais pas te décevoir.— Ce n’est pas un concours, tu sais. Elle sourit timidement et continua son plaidoyer : — Je sais, mais tout de même… En fait, j’ai eu une seule expérience plutôt rapide et décevante lors d’une soirée étudiante. Et depuis, je n’avais jamais à nouveau été tentée ; puis tu es venue en consultation…— Je t’ai perturbée ? dis-je malicieusement.— Tu peux le dire… Lentement, je passai sur Delphine pour l’embrasser. Nos corps s’emboîtèrent sans difficulté, cuisses mêlées, seins et pubis se frottant langoureusement. La belle embrassait bien, et notre excitation reprit de plus belle. Elle caressait mes fesses laissées libres par le string tandis que je lui ôtai son soutien-gorge. Deux adorables petites pommes apparurent, déjà dressées par nos préliminaires ; et, ne voulant pas commettre la même erreur que sa première maîtresse, je décidai de prendre mon temps. Libérant sa bouche, je souris et surpris cette jolie blonde qui me regarda presque apeurée. — Je ne te plais pas ?— N’importe quoi… la rassurai-je. Tu es ...
«12...456...»