Christine - Histoires de Sexe

Christine

... retire ces deux derniers morceaux de tissu pour les accrocher eux aussi au portemanteau. Je monte sur la balance, M. Lassu s’approche et lit mon poids. — Très bien, votre poids est toujours très stable. Vous pouvez descendre de la balance, et restez-là debout juste devant moi, je vais palper votre poitrine. Troisième coup de chaud, là on y est, ce beau gosse va me tripoter. Malgré mon âge et les nombreuses visites gynéco déjà vécues, je ne suis pas du tout à l’aise. M. Lassu s’est placé derrière moi, il a plaqué son torse contre mon dos, ses mains sont venues attraper mes seins pour les soutenir, les relever, les écraser, puis avec deux de ses doigts, il a palpé minutieusement toute la surface de mes deux globes. Mes tétons se sont raidis, j’étais trahie par mon propre corps, le docteur ne pouvait que constater que ces palpations ne me laissaient pas indifférente. — Bien, rien à signaler. Vous pouvez vous installer sur le fauteuil et placer vos pieds dans les étriers. Alors que M. Lassu retourne s’asseoir à son bureau, je m’installe comme il venait de me l’indiquer. À demi allongée sur ce siège, jambes en l’air, écartées, je pouvais l’observer enregistrer ses conclusions sur son ordinateur en dirigeant mon regard entre mes deux cuisses, droit devant face à moi. — À quand datent vos dernières règles ?— Un peu plus de deux semaines.— Elles sont régulières ?— Oui. Je le regardais noter tout cela dans mon dossier informatique jusqu’à ce qu’il se lève et se dirige vers moi. ...

... Dans cette position ouverte telle que je l’étais, j’ai rapidement senti l’odeur forte que dégageait mon sexe. Le docteur s’est installé sur son siège face à mon sexe. Il a enfilé une paire de gants en latex avant d’étaler une larme d’un gel lubrifiant entre son pousse et son index de sa main droite. Il a posé sa main gauche à plat sur mon ventre au niveau de mon nombril puis c’est l’index de sa main droite enduit de gel qui est venu me pénétrer d’un seul coup en profondeur jusqu’à ce que son pouce s’écrase contre mon clitoris. — Détendez-vous, je vais vous palper la paroi vaginale, ensuite je vous fais un frottis et nous aurons terminé. Tout en poursuivant cette palpation interne que je trouvais, il faut se l’avouer, assez agréable voir quelque peu excitante, le docteur m’interrogeait : — Bon… vous m’avez dit ne plus avoir de rapports réguliers, vous observez une baisse de votre libido ?— Oui.— Qu’elle est la fréquence de vos rapports ?— Une fois par mois, peut-être plus…— Ça vous convient ?— Oui.— Et votre conjoint, qu’en pense-t-il ?— Depuis quelques années, sa sexualité s’est endormie. Au début s’était frustrant, puis peu de temps après, à mon tour, je n’ai plus éprouvé ce besoin.— Pourtant vous m’aviez l’air assez réceptive. Tout à l’heure, lorsque j’ai palpé vos seins et maintenant, c’est votre clitoris qui ne cesse de gonfler contre mon pouce. Sur ces mots, j’ai hésité un instant à me dégager de ce fauteuil et de cet homme pour m’enfuir, mais il était déjà trop tard, je ...