Christine
Datte: 03/12/2018,
Catégories:
fh,
médical,
cérébral,
Masturbation
Oral
pénétratio,
confession,
f+medical,
... dois vous avouer que cela m’avait permis de nourrir un de mes fantasmes. J’apprécie beaucoup les odeurs, surtout lorsqu’elles sont fortes comme la vôtre.— Ah, vous… un fantasme… mon odeur ?— Nous ne sommes pas ici pour parler de moi, alors je vous écoute, décrivez-moi la situation qui vous a permis de vous évader dans le monde du plaisir. Il est là, debout contre le fauteuil sur lequel je suis allongée, il me regarde, pose sa main gauche à plat sur mon ventre au niveau de mon nombril. Je prends conscience que je me trouve dans une situation qui ressemble étrangement à celle que j’ai vécue dans mon fantasme et qui m’a entraînée dans de folles caresses intimes ces dernières semaines. Je dois me libérer, me jeter à l’eau… — Eh bien, puisque vous voulez tout savoir, sachez que vous m’avez prise docteur, vous m’avez prise sans mon consentement, car je suis une femme mariée et fidèle. Il est hors de question que j’accepte une relation sexuelle extraconjugale, même dans mes fantasmes les plus fous.— Vous ai-je violé ?— Non, je ne peux pas vous accuser de cela, vous m’avez prise et je ne le souhaitais pas, mais vous m’avez prise quand même. Tout en m’écoutant, deux de ses doigts posés sur mon ventre sont descendus à la rencontre de mon sexe pour se noyer dans mon jus déjà bien présent au bord de mes lèvres. Après deux rapides rotations de son index sur mon clitoris, j’ai attrapé son poignet pour écarter sa main de mon sexe. — Non, s’il vous plaît, je ne peux pas accepter de tromper ...
... mon mari, je ne suis pas consentante…— Mais vous en crevez d’envie ! Comment ai-je pu vous prendre dans votre imaginaire, si vous le refusez ?— Docteur, vous m’avez attachée, docteur, vous avez lié mes poings et mes chevilles à votre fauteuil ! Et vous avez abusé de moi, docteur… sans que je puisse…. vous repousser.— Laissez-moi un instant, je reviens, j’ai ce qu’il nous faut. Ma respiration était rapide, mes seins pointaient fermement en direction du plafond et mon sexe crevait d’impatience. Le docteur s’est approché de moi, j’ai préféré garder les yeux fermés et ne pas le regarder me lier les poignets et chevilles aux parties métalliques du fauteuil. J’étais désormais prisonnière, exactement comme je l’avais imaginé, à la merci de cet homme qui pouvait maintenant abuser de moi pour mon plus grand plaisir non consenti. Sa main gauche est venue au contact de mes seins. Il les a massés lentement, l’un après l’autre, puis il s’est arrêté sur un téton pour le pincer entre son pouce et son index. Ma respiration ne cessait de s’accélérer, je n’avais jamais connu un tel degré d’excitation. Le docteur me fixait dans les yeux. De son autre main, il a baissé la fermeture Éclair de son pantalon pour en dégager son sexe au gland décalotté et luisant, fièrement dressé au bout d’une tige tendue. Sa main gauche a libéré mon téton pour venir se poser dans mon cou, et c’est avec son pouce qu’il a appuyé sur ma joue pour faire basculer ma tête et positionner ma bouche face à son sexe. Il a ...