Petit diable !
Datte: 04/12/2018,
Catégories:
fh,
fplusag,
extracon,
Collègues / Travail
fdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
intermast,
Oral
pénétratio,
... ma chère Agnès. Et d’ailleurs, je dois moi aussi vous former, ajouta-t-il avec un sourire ! À ces derniers mots, Agnès eut un mauvais flash. Elle se vit assise aux côtés de ce « vieux libidineux », qui, sous prétexte de formation, lui glissait la main sous la robe. Elle en eut un frisson d’horreur ! — Je vous laisse travailler, conclut-il en ressortant du bureau aussi précipitamment qu’il y était entré. Agnès et Antoine se regardèrent alors comme deux vieux complices heureux d’avoir joué un mauvais tour et ils éclatèrent de rire. Antoine, reprenant son sérieux, lui dit : — J’aime beaucoup travailler avec vous, Agnès. Je n’ai jamais eu de chef comme vous.— Merci, Antoine, c’est gentil. Puis il osa ajouter : — Surtout, je n’ai jamais eu de chef aussi… jolie que vous.— Oooh, s’exclama-t-elle, vous êtes un vilain flatteur, Antoine. Je devrais me méfier de vous ! Jeudi, quatrième jour Après ces trois jours de formation, Antoine en savait assez pour commencer à travailler seul. Pour cela, Agnès lui donna une tâche simple à réaliser sur l’un des logiciels de l’entreprise et retourna à sa comptabilité de fin de mois. Elle avait revêtu la même tenue que la veille, sauf que cette fois elle n’avait même pas pris la peine de mettre un soutien-gorge. Le matin, au moment où son mari l’embrassa avant de partir, elle avait fait semblant de maintenir son collier de la main afin de lui dissimuler sa poitrine nue sous la robe. Il aurait sûrement trouvé cela suspect et elle se serait sentie ...
... obligée de lui expliquer l’inexplicable ! Dès les premières heures de la matinée, elle fut dévorée du besoin d’aguicher Antoine. Ses jambes toujours croisées, elle remonta peu à peu sa robe, aussi discrètement qu’elle put. Si bien que lorsque la pendule du bureau indiqua dix heures, ses cuisses étaient déjà complètement découvertes. Antoine en profita largement. Il ne se passait pas deux minutes sans qu’il ne jetât un coup d’œil au charmant tableau que lui offrait sa complaisante patronne. De temps en temps, son stylo tombait opportunément par terre, l’obligeant à se glisser sous son bureau pour le ramasser. Bien sûr, Agnès n’était pas dupe de ce manège « un peu gros » et se doutait bien que tout cela n’avait d’autre but que de se rincer l’œil. Et elle s’en amusait tant, qu’à ces moments-là, elle poussait parfois la provocation jusqu’à décroiser, puis recroiser ses jambes. Au fil de la journée, Agnès nota que le stylo tombait de plus en plus souvent. Une fois même, il roula opportunément jusqu’aux pieds de sa patronne. Antoine dut alors se lever pour aller le récupérer et dut s’accroupir juste devant elle. Il prit alors tranquillement le temps de parcourir des yeux ses jambes sublimes, depuis les pieds jusqu’en haut des cuisses et comme il fut un peu long à réapparaître, elle s’en amusa : — Alors, vous le trouvez, ce stylo ? Il se releva triomphant, le stylo à la main et s’enhardit à déclarer : — Vous avez de très belles jambes, Agnès !— Mais qui vous a autorisé à les regarder ?— ...