1. Petit diable !


    Datte: 04/12/2018, Catégories: fh, fplusag, extracon, Collègues / Travail fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, Oral pénétratio,

    ... doucement sa verge, elle approcha ses lèvres de celles d’Antoine. — Embrasse-moi, petit diable, chuchota-t-elle ! Répondant à son appel pressant, il la serra très fort dans ses bras, tandis qu’elle, abandonnant sa verge, se pendit à son cou. Bien vite, leurs langues se mêlèrent dans un baiser empreint d’une intense charge émotionnelle. Ils avaient l’un et l’autre tant désiré cette étreinte, qu’elle fut comme une délivrance. Si près d’elle, Antoine découvrit pour la première fois le parfum d’Agnès. C’était une fragrance très florale, très féminine aussi, légère et insistante à la fois, qu’il n’avait fait que soupçonner lorsque, fendant l’air de son pas toujours pressé, son sillage en révélait parfois quelques vagues effluves à peine perceptibles. Antoine, lui, les percevait et s’en emplissait les narines avec délice. Mais elle recherchait d’autres sensations : sentant que la verge turgescente de son amant était prisonnière entre eux deux, elle fit onduler son bassin afin de s’y frotter. Elle en éprouva vite une brûlante excitation qui remonta de son pubis jusqu’à son bas-ventre. Son désir avait alors atteint des sommets et elle savait que, désormais, plus rien ne pourrait l’empêcher de s’offrir à lui. Antoine, déjà très troublé par ce baiser de feu, mais aussi par ces parfums enivrants qui l’étourdissaient et plus encore par les ondulations traîtresses de sa partenaire, commençait à perdre toute raison. Il avait envie de la plaquer contre un mur et de la baiser ! Comme une ...
    ... salope, pensa-t-il soudain en se passant le film en lui-même ! Dans sa folie, ses mains s’animèrent soudain et parcoururent tout le corps de son appétissante directrice-adjointe, s’arrêtant plus particulièrement sur ses fesses qu’elles pétrirent sans ménagement. La robe en fut toute froissée, mais Agnès adorait. Antoine alors, décolla ses lèvres de celle de sa partenaire pour aller les glisser dans son cou où il déposa mille baisers. Là, il put tout à loisir s’étourdir de ce parfum qui l’émoustillait tant. — As-tu envie d’aller plus loin, petit diable ? lui murmura-t-elle soudain.— Oh oui, s’écria-t-il, enthousiaste ! Vous m’avez tellement excité que… que je suis devenu fou de vous !— Alors, qu’est-ce que tu attends pour enlever ma petite robe ? fit-elle d’une voix chaude. Au même instant, elle tourna sur elle-même afin de lui offrir son dos, puis, à tâtons derrière elle, elle reprit la verge en main. Antoine se précipita alors sur la fermeture Éclair et la tira fébrilement. Quand Agnès fit glisser la seule bretelle qui tenait encore, la robe fila le long de son corps jusqu’au sol dans un léger bruissement. Dans le plus simple appareil, elle offrait désormais ses formes harmonieuses à la convoitise d’un Antoine qui la dévorait des yeux avec gourmandise, tel un enfant devant une sucrerie. Il ne résista d’ailleurs pas longtemps et saisit à deux mains ces jolies fesses, si tentantes, et se remit à les pétrir sans le moindre scrupule. En réponse à ce geste désinvolte, il reçut de sa ...
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