L'été grec
Datte: 04/12/2018,
Catégories:
Accouplements Érotiques,
... comprendre qu'une promenade en bateau était programmée pour la journée. Il voulu protester mais le marin était si souriant, si désarmant qu'Il finit par céder en battant des bras en signe d'impuissance. Vous êtes repartis en mer, vous en aviez presque la nausée de ces promenades en caïque, vous ne vous êtes presque pas regardé ni parlé, n'osant vous jeter que de brefs regards à la dérobée. Les marins étaient comme à leur habitude, gais et volubiles. Ils ne se cachaient plus pour peloter ouvertement la jeune femme qui ne disait rien, qui souriait gênée quand une main rude lui prenait les fesses ou les seins. Parvenus au large, les hommes se sont mis nus et par jeux, ils vous ont mis nus aussi et l'hystérie les a gagné peu à peu. Rien ne les retenait plus et les rires gras qu'ils proféraient quand ils touchaient la fille en disaient longs sur leurs intensions. Elle se laissait faire sans trop protester, il est vrai qu'ils mêlaient leurs gestes de gentillesse et de sourires. Lui, Il regardait tout cela effaré, ne comprenant plus le sens de tout cela, dépassé et infiniment dégoûté de sa lâcheté. Il finit par s'allonger sur le banc arrière et Il ferma les yeux, abandonnant la partie aux marins qui se sentirent enfin libre d'user et d'abuser du corps de la jeune épouse. Ils ne s'en privèrent pas, l'après midi toute entière ne fut qu'une orgie sans fin entrecoupée de baignades dans les eaux turquoises des criques ombreuses. Chacun des hommes la prit au moins trois fois, lui ...
... demandant de longues fellations quand ils venaient à fléchir. Elle s'acquittait de ces jeux pornographiques avec une volonté marquée proche d'un plaisir qui finissait par prendre le pas et l'amenait à crier sa jouissance entre les parois brutes des falaises. Plus tard, l'un des compères a sorti d'une sacoche de cuir un appareil photo polaroïd et dans un grand désordre de cris et de rires ils ont fait des photos où ils se pressaient contre la femme, lui flattant le sein ou les mains perdues entre ses cuisses. Ils se sont même pris en train de lui faire l'amour, chacun leur tour. Vers le soir, Il aperçu son épouse, à quatre pattes sur le bas flanc de la cabine, Elle était prise par le plus vieux et le plus membré des trois. En même temps Elle suçait ardemment leur hôte qui visiblement appréciait le spectacle des corps déchaînés. Le troisième marin encourageait du geste et de la voix le trio obscène. Il a regardé le spectacle hors norme, puis Il a détourné les yeux, se demandant quand cela se terminerait. Il faisait nuit quand le caïque a abordé le quai. Le quatuor était repu de soleil et de fatigue. Ils se sont engouffrés dans la maison sombre du marin. Cette nuit là fut plus calme, chacun tenant à récupérer après une journée si agitée. Le petit matin le trouva les yeux ouverts dans le noir, Il avait passé une nuit horrible, agitée de cauchemars. Cette fois Il sentit la présence de son épouse contre lui. Lentement, Il bougea et se remit debout, gagnant la porte sans bruit. Peu après Il ...