L'amour d'un père (11) - Histoires de Sexe

L'amour d'un père (11)

... sans me prévenir. Je crie de douleur et de surprise, mais surtout de plaisir. — S’il te la prit, moi aussi j’y ai droit ! se justifie-t-il. Le salaud ! Le salaud ! Je te voulais pour moi tout seul. Je t’aime Lily ! — Je suis désolée ! fais-je une nouvelle fois. Je ne trouve rien d’autre à dire. argammld Il s’éclate dans mon cul sans aucune douceur. Je l’ai énervé au point qu’il ne veut plus me faire l’amour, mais juste m’utiliser pour se faire du bien. Je n’ose pas l’avouer, mais j’adore ça. J’aime qu’on me malmène. Je peux sentir le besoin qu’il a de moi, c’est le plus beau des compliments qu’on puisse me faire. Je m’écroule sous ses coups de butoir. Il me plaque à plat ventre et me défouraille l’anus. Je m’agrippe fermement aux draps. Je ne peux plus bouger, je suis devenu son objet. Je suis obligée de subir ses assauts. Cela me fait défaillir, je ne suis plus loin de jouir. — Ah ! Lily, ma Lily. Ton cul est si bon ! Je gémis à chacun de ses vas-et-viens. Il sort parfois pour admirer à quel point il m’a dilatée avant de retourner en moi. Son excitation est à son comble. Il est comme fou, je suis flattée de savoir que c’est moi qui le rends comme ça. Il me lime avec vigueur comme si j’étais son trou à bite. Mon orgasme approche, mais je n’ose pas le lui dire. S’il savait combien j’aime être enculée, il ne me regarderait sans doute jamais de la même façon. J’essaie de le retenir, ou du moins de le cacher, mais je ne peux m’empêcher de crier lorsque la vague de plaisir vient ...

... enfin me frapper. — Aaaaaah ! Ouiiiii ! Ooooh ! — Tu jouis ?! n’en revient-il pas. Tu jouis d’être enculée comme une chienne ?! — Ouiiii, j’aime çaaaaaa ! Je lui offre ma jouissance sans aucune pudeur. Il en profite un maximum le salaud. Cela me fait tellement d’effet de voir mon petit frère d’ordinaire doux et tendre son comportement comme un homme. Je l’aime encore plus comme ça. Je suis encore à moitié délirante quand il me retourne sur le dos et vient se positionner au dessus moi. Je comprends ce qu’il s’apprête à faire ne voyant se branler devant mon nez. — Je vais te souiller ! Sale petite pute ! hurle-t-il. J’ai ce réflexe un peu étrange d’ouvrir la bouche et de sortir la langue pour le recevoir. Me voir comme ça lui donne le coup de grâce. Il rugit tandis que de sa queue jaillit une première copieuse giclée de sperme. Elle m’atterrit en plein sur le visage. Je ferme les yeux par réflexe. D’autres arrivent tout aussi abondante. Il m’inonde de son jus d’amour. Je sens son foutre chaud couler de partout. — Aaah ! Lily ! Lily ! Salope ! Quand je pense que le déluge est enfin terminé, je passe mes doigts sur mes paupières pour les dégager avant d’oser rouvrir les yeux. Je me les lèche ensuite avant d’avaler. Il goute bon. Il me regarde faire en gémissant. Je trouve ça mignon. — Tu aimes le sperme ? me demande-t-il. — Oui, fais-je simplement en rougissant. Il grogne en guise de réponse. Sa queue toujours dure se tient encore juste devant moi. Je plonge la tète en avant pour ...