1. Une femme couguar.


    Datte: 04/12/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    Âgé de 25 ans, je suis depuis deux ans avec une femme qui est plus âgée de 15 ans et nous sommes parfaitement en harmonie au point de susciter des jalousies. Avec ma sœur Marie-Astrid, ma cadette d’un an, nous avons été élevés par notre, mère, rapidement divorcée après la venue au monde de ma sœur. Un jour, notre père a quitté le domicile familial et nous n’en n’avons plus jamais entendu parler. Episodiquement ma mère ramenait un homme à la maison après une sortie en boîte avec des collègues de travail mais ces liaisons ne duraient jamais plus de quelques semaines. Par contre, elle avait une amie de son âge qui venait assez souvent à la maison pour prendre le café le samedi ou le dimanche après-midi. C’était une amie d’enfance qui vivait seule elle aussi, mais dans le village, elle avait une réputation quelque peu sulfureuse : elle passait pour une croqueuse d’hommes. Véronique, cette amie de ma mère était une belle grande femme brune, avec une poitrine et des fesses opulentes sans exagération. Dans la maturité d’une trentaine finissante, elle avait dans ses yeux noirs un magnétisme qui attirait le regard et ses lèvres toujours maquillées d’un rouge vermillon semblaient appeler le baiser et d’autres délices... Combien de fois, grand adolescent, j’ai eu le regard attiré par l’ouverture de son corsage où je distinguais l’amorce du sillon séparant les seins ou par une vision fugitive du haut en dentelle d’un bas. Je n’imaginais pas que c’est avec elle que je découvrirais les ...
    ... jeux de l’amour. Bref, un samedi d’hiver, elle est venue à la maison. Je me suis réfugié dans ma chambre pour écouter de la musique et me masturber en regardant des revues qu’un camarade de lycée m’avait passées pour le weekend, peut-être aussi en ajoutant Véronique à mon trip. Le casque avec les écouteurs sur les oreilles, je ne l’ai pas entendue entrer. Elle venait simplement me dire que le goûter était prêt mais elle a découvert les revues et ma bite à moitié sortie de ma braguette. Alors que je sentais mon visage s’empourprer de honte, elle m’a souri gentiment : • Ça te manque ? Je suis sure que tu es encore puceau ! Je bafouillai la réponse entre mes dents : • Oui, je n’ai jamais vu de filles autrement que dans ces revues ! • Cela ne m’étonne guère… Ta mère veille au grain ! Là, nous n’avons pas le temps, viens demain chez moi en début d’après-midi. Je te ferai découvrir ce que tu cherches. Nous en sommes restés là et nous avons retrouvé ma mère et ma sœur dans le salon autour du gâteau d’anniversaire de Marie-Astrid dont nous fêtions ses seize ans dans l’intimité. Le lendemain après-midi, je me suis précipité à l’autre bout du village où Véronique m’attendait dans son immense maison. Lorsque je sonnai à l’interphone situé sur la rue elle me dit : • Viens, entre vite, viens te mettre au chaud... Je suis entré rapidement et dès qu’elle a fermé la porte derrière moi, au lieu de nous faire la bise comme nous en avons l’habitude, elle m’a enlacé et embrassé à pleine bouche, ...
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