Vacances... (1)
Datte: 04/12/2018,
Catégories:
Inceste / Tabou
... exceptionnellement seul à la maison. J’ouvre la porte au coup de sonnette impératif. Catherine en larmes se jette dans mes bras. — Papa, Papa ! J’ai juste le temps de refermer la porte et d’entraîner ma fille dans le salon. Elle me pousse sur le canapé et se blottit contre moi, assise sur mes genoux. — Papa, Papa, je suis mal… mal... malheureuse… Je pense qu’il s’agit encore une déception amoureuse, une de plus. A vingt ans ma fille fait des ravages parmi les étudiants de sa faculté, ce qui ne va pas sans certains inconvénients pour elle… La preuve… — Si tu me racontais la cause de ce gros chagrin. Catherine enfouit la tête contre mon cou. Je câline les cheveux courts. Des cheveux, la main glisse sur l’épaule dénudée car la jeune fille ne porte qu’un caraco maintenu par deux fines bretelles en ce mois de mai particulièrement chaud. De toucher sa peau douce m’emplit d’un émoi soudain. A ma grande honte, un début d’érection emplit mon pantalon. Je n’ose bouger car Catherine dans ses sanglots se tortille sur mon bas ventre, ce qui n’améliore rien. J’éprouve l’envie irrésistible de la sentir contre moi, peau contre peau. J’imagine que ce n’est plus ma fille que j’ai dans les bras, mais une magnifique créature, sensuelle et de surcroit, malheureuse. Mon sexe grossit, je ne sais que faire. Je suis honteux du plaisir que je sens monter en moi. Par bonheur Catherine qui remue toujours sur mes genoux ne semble s’apercevoir de rien. Troublé par ce désir d’inceste, je veux la ...
... repousser mais elle s’accroche à moi pressant sur la verge qui s’est complètement développée. Tout à coup un petit bout de langue vient lécher mon cou. Cela sonne le glas de mes fragiles résolutions. Je prends la figure de ma fille à deux mains et parcourt le visage en semant des petits baisers, sur le front, les yeux, les joues… la bouche… Une langue frétillante vient à la rencontre de mes lèvres. Je ne résiste plus et accepte le baiser… Mes mains, livrées à elle-même, caressent le dos de Catherine, glissent sous le caraco et remontent vers la poitrine libre. Je frémis quand mes doigts enveloppent un doux mamelon et que le téton érigé trace une ligne sur ma paume, la ligne de ma chance pensais-je en cet instant parodiant Prévert. Ma fille lâche mes lèvres pour ôter le frêle vêtement et offrir ses seins aux caresses paternelles. La jupe rejoint rapidement le caraco sur le tapis tandis qu’elle déboutonne ma chemise, patouille dans les poils de la poitrine et s’amuse avec les petits tétins. Une fois la mini culotte enlevée, je la prends dans les bras, l’emmène dans la chambre et la dépose sur le lit. Elle me sourit, magnifique, belle à en mourir et me tend les mains pour m’attirer. Je quitte en vitesse pantalon et slip pour venir m’allonger auprès d’elle. Nos lèvres se rejoignent à nouveau, elle glisse sous moi, écarte les cuisses… La verge dure se retrouve par miracle juste au bon endroit, je n’ai plus qu’à avancer de quelques centimètres pour accomplir l’irréparable. Un dernier ...