1. Belle fille(s) (12)


    Datte: 04/12/2018, Catégories: Inceste / Tabou

    ... idée dont je tire fierté. Je souhaite agrémenter, à ma façon, le supplice qu’elle me demande. Après avoir été cherché ce qu’il me fallait, je me dirige vers une chaise et m’y assieds. Aurélie s’approche, un doigt dans la bouche, dans une attitude faussement coupable. Je l’attrape par la taille, la bascule en travers sur mes genoux, lui baisse la culotte et lui applique quelques claques qui la font se trémousser en gloussant. Je glisse mon doigt entre ses jambes et recueille un peu de cyprine que je me fais grand plaisir à déguster. Je reprends une série de claques un peu moins fortes que les précédentes. Cette fois, sa liqueur coule abondamment quand je vais la recueillir. Au lieu d’entamer une autre série, je me saisis d’un des glaçons que j’ai préparés, pour le frotter sur sa chair rougie. Elle se contracte, mais semble apprécier mon initiative. Le contraste de température de ses globes brûlants, fait fondre la glace rapidement. Une petite série supplémentaire se fait avec le clapotis de l’eau sur ses fesses trempées. Nouveau glaçon, que je fais courir sur son échine, badigeonne les fesses, puis avec le petit bout restant, force son anus pour lui administrer ce suppositoire gelé. Loin de protester, elle se cambre et me demande : — C’est super agréable ! Mets moi un glaçon entier maintenant ! — Ils sont gros pour pouvoir faire ça ! — Justement ! Le froid lui provoque des contractions involontaires, mais le cube entre entièrement ! J’ai un mal fou à contrôler mon ...
    ... émotion. Je bande comme un taureau et, comme Aurélie se frotte sur ma verge avec insistance, elle n’ignore rien de mon état. Elle déclare tout à coup : — C’est trop bon ! Encule moi s’il te plait ! D’un seul mouvement, elle se relève et après que j’ai baissé mon short, vient s’empaler à califourchon sur membre. L’eau froide qui sort de son anus permet de le lubrifier, je sens au bout de mon gland, le résidu du glaçon et le pousse bien au fond en m’introduisant dans son fondement. Elle m’embrasse et part dans une chevauchée qui fait grincer les pieds de la chaise. Sa frénésie est telle que j’ai du mal à contenir mon plaisir. Heureusement, son orgasme précède le mien ! Nous restons soudés dans un baiser passionné quand Laetitia franchit la porte du séjour. Elle constate rapidement la rougeur des fesses de sa sœur et, que je suis toujours fiché en elle. — Oh, j’arrive trop tard ! J’aurais bien aimé jouer avec vous ! Aurélie répond : — Une autre fois soeurette ! Tu as ramené le gode ? — Oui, mais je n’ai pas eu le temps de bien le nettoyer, vous pouvez le faire ? Il faut que j’y aille ! Elle tend un sachet dont Aurélie se saisit en se redressant. De nouvelles taches jonchent le sol. Le ménage n’est pas fini ! Après que tout soit remis en place, mon amour et moi, revêtons une tenue correcte puis regagnons la terrasse, pour nous allonger sur les chaises longues, main dans la main à nous dispenser mille mots d’amour. Brigitte ne devrait plus tarder à arriver, dommage ! 
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