L'Île de Marana Chapitre 12
Datte: 05/12/2018,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
... en elle. La différence de taille est telle que je n'ai rien pour m'agripper, je ne peux même pas m'étendre. Elle sourit et m'aide à m'installer. Cette grande femme semble m'apprécier, elle est sévère, elle veut me voir à ses pieds comme un esclave, mais je lui suis très cher. Sa respiration s'accélère, son sexe est adapté à la taille du mien, et je peux lui faire l'amour. Elle ne met pas longtemps à jouir et me pousse hors d'elle pour récupérer. Pas longtemps, elle s'assied et me regarde de sa hauteur. Elle a retiré son soutien, elle est complètement nue. Sans rien dire, elle attrape mon poignet droit et me tire contre elle. Je suis debout contre elle, et elle m'embrasse. — Tu es un amant merveilleux, tu es un excellent esclave. Les déesses t'ont créé parfait pour les Mars. Je ne pensais pas avoir fait quelque chose d'exceptionnel. En tout cas, il est certain qu'elle ne me flatte pas. D'un coup, elle me pousse sur le dos et elle revient sur moi. Alors, elle s'empale sur moi, et se laisse aller de tout son poids. Elle est vraiment lourde c'est géante, elle est si grande alors que mon sexe est en elle. Sans attendre, elle prend mes deux poignets et les cale dans une seule main, puis monte et descend sur mon sexe, chaque fois de la pointe à la base. L'anneau qui serre mes testicules rend les choses encore plus terribles, plus excitantes. Elle jouit encore et encore, ne me laissant aucune occasion de le faire moi-même. Elle m'utilise, je pourrais être une poupée, je n'ai pas le ...
... droit de bouger ou de prendre une initiative. A un moment, elle se retire, elle a pris son pied je ne sais combien de fois. Elle me prend dans ses bras, assise sur le bord du lit, et me coince entre ses seins, puis me masturbe. Elle me vide en fait. Le but n'est pas de me donner du plaisir, mais de soulager la pression, comme elles font souvent. De vider tout, elle va même plus loin que toutes les autres puisqu'elle le fait dix fois. Je me réveille seul. C'est la première fois que je suis seul depuis un certain temps et je regarde l'anneau qui a été placé sur moi. C'est comme un seul tube, il est en or, mais c'est doux, et il n'y a pas d'ouverture, seulement un anneau pour y accrocher une laisse. Dire qu'on me promène ainsi, tenu en laisse par les testicules. Je me lève, assez collant de transpiration et sors de la chambre. Je vais d'abord sur la terrasse pour me doucher. Et puis je retourne à la grande salle. Ce matin, elle est encore bondée de femmes noires. J'aperçois les cinq guerrières vêtues de cuir noir et vais à leur rencontre. — Tu as bien dormi? Me demande T'Asha. — Oui. — Appelle-nous « maitresse », l'intime-t-elle, c'est notre titre. Les guerrières doivent être appelées « maitresse ». — Oui maitresse. — Mange, nous allons bientôt partir. Elles me regardent avaler du pain et du fromage, ainsi que le jus de fruits. Puis, nous allons aux écuries et elles sellent les cheveux et préparent les deux autres pour transporter les sacs. Les chevaux sont sortis sur la place ...