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Dans les caves d’une cité de banlieue.
Datte: 05/12/2018, Catégories: Anal Hardcore,
... la glisse dans la voiture, à l’arrière, toujours docile et obéissante. Cette fois pourtant son visage affiche un sourire un peu niais mais si beau !Arsène a ouvert la longue cape découvrant ses jambes et le sexe de sa femme. A chaque arrêt, on peut à loisir contempler ses formes. Soudain, on voit Chantal qui détache le fin cordon qui tient fermée la cape autour de son cou. Le vêtement s’ouvre de lui même. Elle est nue maintenant sur la banquette arrière de l’auto et déjà plusieurs voyeurs dans des voitures ont pu profiter du spectacle. Arsène exulte, il réalise là son plus grand fantasmeOn arrive dans la cité. On la rhabille et nous voilà marchant dans les rues encore chaudes. Il est presque 22 heures. En marchant à côté de sa femme Arsène n’arrête pas de la regarder. A chaque pas, la cape s’ouvre découvrant les jambes jusqu’au haut des cuisses fines. Parfois même, la cape s’ouvre un peu plus découvrant le triangle noir de son pubis. Chantal marche d’une manière automatique, le regard fixé devant elle. Aucun sentiment ne transparaît. Esclave soumise elle se laisse conduire, même si elle a l’air de participer un peu plus.On arrive à l’endroit où on a donné rendez à vous à mon copain Gérard qui habite la cité. Il a pris sa caméra car il a l’intention de filmer ce qui va se passer.Dès qu’il la voit Gérard film la belle dans sa cape. Très vite il comprend qu’elle est sous influence, soumise.On part dans les rues de la cité.Très vite, on croise un groupe de jeunes du quartier que ...
... Gérard connaît un peu, qui nous demande de les suivre dans une cave pour la mater tranquille.On s’interroge et c’est Gérard qui donne le feu vert : il veut filmer.Un des jeunes s’approche d’elle par-derrière relève la cape :- Elle a le cul nu les gars, dit-il en criant.Il se met à la caresser et Chantal, absente, se laisse faire devant les copains qui rigolent. Elle accepte bien sûr de les suivre en souriant toujours béatement.On passe dans des ruelles désertes pour arriver dans un grand ensemble d’immeubles. Sur le chemin personne n’ose parler, on attend de se retrouver au calme.On se dirige vers une entrée recouverte de tags. On abandonne l’auto pour suivre le petit groupe. Gérard film toujours. Chantal est entourée comme pour l’empêcher de s’enfuir. Toute droite cependant elle se laisse conduire. Elle est vraiment droguée. Sur la pente douce de notre débauche.Les 5 zonards sont jeunes. Moins de 20 ans et deux d’entre eux même autour de 18 ans. Un noir est le plus grand. Très grand. C’est lui qui guide. On entre dans immeuble avec un hall plein de graffitis au mur. La zone !On descend un escalier crade aux murs pleins de dessins et inscriptions obscènes et encombré de mille objets divers. Puis un long couloir mal éclairé. On a l’impression de descendre en enfer. C’est peut-être l’enfer. On balise un peu mais le train est parti, pas moyen de reculer. Tout le long du couloir, les portes des caves sont touts éventrées, dégueulant divers matériels et matériaux.On arrive enfin ...