Laetitia 05 - Histoires de Sexe

Laetitia 05

... cette attention. Son visage était écarlate et je devinais qu'il s'apprêtait à jouir. Il a penché un peu la tête vers l'arrière et Barbara s'est approchée de lui pour lui embrasser la commissure des lèvres. Éric a placé une main sur le front de son père et il l'a forcé à se reculer. Marie-Line a placé une main sur le front de Jean-Yves l'autre sur la mâchoire inférieure et elle a aidé Éric à positionner son père. Je l'ai entendu crier à Jean-Yves d'ouvrir la bouche au moment où j'ai vu un premier jet de sperme sortir de la queue de mon fils et atterrir directement dans la bouche de son père. Cette vision et le traitement que m'infligeaient mes deux amants m'ont fait basculer et je me suis mise à jouir bruyamment. À mon tour, je n'étais qu'une loque, mon corps secoué par les coups de boutoir de mes amants et traversé par les spasmes de mon orgasme. Les yeux fermés, j'ai senti les deux hommes en moi se tendre et me pénétrer profondément. Dans mon esprit, j'avais l'impression que je sentais chacun des spasmes de leurs queues qui déversaient en moi leur foutre. J'avais l'impression de gonfler et me réchauffer. Cette chaleur se répandant à travers mon corps pour aller se concentrer dans ma tête. Je sentais mon visage chaud. Je voyais derrière mes yeux fermés ces vagues de chaleur qui rendaient mon corps moite. Les caresses des hommes qui demeuraient plantés en moi et leurs baisers augmentaient d'autant la durée de cet instant magique. Je suis redescendue de mon nuage et de sur ...

... Peterson quand j'ai senti un coup de laisse brusque. J'ai ouvert les yeux pour réaliser que Timéa avait la laisse attachée à mon cou bien en main et elle la tirait avec insistance. Très délicatement, les deux hommes m'ont aidé à me remettre sur mes pieds. Je sentais leur jus couler entre mes jambes. Sans que je puisse me retourner, Timéa m'a rapidement guidé hors de la pièce. J'entendais quelqu'un sangloter. J'imaginais que c'était mon mari. Dès que je fus de retour dans le salon on m'a bandé les yeux puis fait plier en deux et l'on m'a retiré la robe qui ne me cachait plus du tout. Quelques secondes plus tard, je me suis retrouvée avec une queue dans la bouche et une autre dans mon con. Pendant de longues minutes, je me suis fait pilonner ainsi de part et d'autre. Je sentais les jets de spermes dans mon dos et mon visage. Je devinais que j'avais les cheveux bien imbibés aussi. Puis j'ai senti un corps chaud et tremblant être appuyé contre moi dans la même position penchée. Quelqu'un a défait le bandeau qui m'empêchait de voir et avant même que mes yeux soient rétablis, j'ai entendu Barbara me parler à l'oreille. — Ma belle embrasse ton mari, il va en avoir besoin puisqu'il va perdre sa virginité dans un instant. Je me suis retourné pour réaliser que c'était Jean-Yves qui était à mon côté appuyé contre moi. Un des deux agents le tenait par les épaules et quand j'ai regardé à l'arrière j'ai vu l'autre agent. Sa queue était bien droite et elle était déposée sur la raie des fesses ...