Au bureau
Datte: 06/12/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Partouze / Groupe
Transexuels
... telle une ventouse. Elle finit par jouir. Sa cyprine vient se mêler à tous les jus qui ont défilé dans ma bouche depuis mon arrivée. Le spectacle que je viens de t’offrir t’a redonné de la vigueur, tu me positionnes à quatre pattes devant elle, ma chatte offerte. Il lui vient alors, à cette mégère, l’idée de me fouiller le cul. Elle humidifie ses doigts et les plante dans mon orifice déjà dévasté. Un à un, ses doigts s’insinuent dans mes chairs et c’est bientôt toute sa main qui est fichée en moi. Cette salope me fiste et tu ne dis rien. Mieux, tu l’encourages. Ces cinq doigts me fouillent longuement. J’ai envie de jouir mais une claque me remet à ma place. Je dois me concentrer pour ne pas exploser. Elle retire sa main me laissant ouverte. Tu en profites pour y planter ta bite. Ne voulant rester sur le bord de la route, la dame se positionne sous moi en 69 et entreprend de sucer mon clitoris tout en présentant sa chatte, une nouvelle fois, devant ma bouche. Je constat, avec bonheur, qu’elle sait y faire. S’en est trop, je ne peux me retenir plus longtemps et je lâche un jet de mon jus dans sa bouche, au moment précis où toi, mon Philou, tu exploses dans mon cul. Nous reprenons chacun une position plus classique avant que de quitter ces lieux. Alors que je pense que nous allons regagner ton bureau, elle nous entraîne vers le sien. Qu’a-t’elle encore envie de faire ? N’en n’a-t’elle pas assez ? Il semblerait bien que non car elle te propose de me ...
... punir. Je ne comprends plus rien. Elle se tourne vers toi et te dit : « Mon cher ami, il me semble que votre pute a manqué de respects envers moi en giclant en moi sans votre accord, elle mérite donc une petite correction, non ? ». Trop heureux d’avoir fait la connaissance d’une collègue aussi dépravée que toi, tu acceptes sa proposition. Nous entrons donc dans son bureau, elle m’installe à plat ventre sur une table, ouvre un tiroir et en sort une cravache. Elle me demande d’humidifier le cuir pour qu’il soit plus douloureux lors de ma punition. A nouveau, j’obéis. Tu t’installes dans un fauteuil et tu la regardes officier. Les coups pleuvent les uns derrière les autres. Mes fesses commencent par irradier une douce chaleur au creux de mes reins, mais très vite par de la douleur vive et intense. Après m’avoir administré une bonne raclée, et alors que mon cul a prit une couleur violacée, elle me rend à toi, non sans te dire que si à l’occasion, tu avais besoin de quelqu’un pour s’occuper de moi, elle serait là.Quand nous sortons de là, il est déjà bien tard. Les bureaux sont déserts. Mon cul me brûle à chacun de mes pas, sans parler du frottement du tissu de la robe sur ma peau. Dans le hall, c’est un vigile qui a pris la place des hôtesses. La nuit est tombée. Nous nous séparons sur le trottoir. Je rentre chez moi, heureuse et fière de m’être montrée digne de toi, mon Philou, et prête à revenir passer d’autres bons moments sur ton lieu de travaiL.