1. TRAIN DE NUIT


    Datte: 06/12/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    -- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS -- Je revenais d'un week-end passé avec ma belle soeur et mon neveu dans leur maison du Poitou et devait rejoindre Richard à Paris pour un dîner avec un de ses futurs clients. Richard aimant jouer de mes charmes auprès de sa clientèle, j'avais donc pour l'occasion revêtu mon tailleur Givenchy Noir. La jupe cintré (du genre actrice de Hitchcock) soutenu par une ceinture Très large ainsi que mon chemisier noir faisait grand effet. Perché sur mes escarpins j'avançais vers mon compartiment de première classe rapidement afin de trouver enfin la tranquillité. Une fois de plus l'incompétence et la paresse des contrôleurs de la SNCF m’avaient obligeait seule à porter mes valises. J'avais bien fait ressentir à ce bon à rien mon mécontentement. A plusieurs reprises j'avais remarqué au départ du train les regards d'un autre agent qui me matait tel un voyeur vicieux. Peu m’importait j’étais habitué et décidais de le toiser de manière hautaine. Une fois seule dans mon compartiment je décidais de changer mes collants que Sébastien m'avait filé en m'emmenant à la gare, avec ses mains baladeuses. N’ayant plus de collant je mis des bas noir Vova en fine résille avec un imprimé floral sur le coté extérieur de chaque jambe, sentant que quelqu'un m'observait, je tournais la tête rapidement vers l'extérieur du compartiment mais l’ombre disparu. Je continuais debout au milieu du compartiment ma jupe relevée, et ma jambe posait sur la banquette.... Je ...
    ... me mis à lire un magazine de mode quand le contrôleur passa pour vérifier la fermeture de la porte. Du coin de l’œil il m’observait. Ses regards m’agaçaient prodigieusement et décidais donc de lui en donner pour son argent en me plaignant de l’odeur nauséabonde du compartiment. Ne recevant qu’un grognement négatif en réponse, je croisais mes jambes plusieurs fois sentant ma jupe remonter à la limite de mes bas. Sortant ma trousse de maquillage je repassais du rouge sur mes lèvres de manière plus que suggestive. Ses regards se prolongeaient quand quelqu’un l’appela à l’autre bout du couloir. La porte restait ouverte je l’entendit : « Putain pas commode la bourgeoise, elle m'a fait remarquer, avec ses grands airs que le compartiment était nauséabond et qu'elle en ferait part à la direction. Je me suis excusé, mais elle m'a toisé. Putain elle se prend pour une duchesse. Je te lui ferais avaler ses conneries moi» 1 heure plus tard un second contrôleur frappa vivement à la porte - Contrôle des billets ! - Oui 2 minutes... - Vos billets madame ! Je laissai la porte entrouverte et fouillais dans mon sac. Je le sentais observais mes fesses bien cambré. Il rentra à son tour dans le compartiment. Je me retournai mal à l'aise le fixant droit dans les yeux afin de lui faire part de mon mécontentement. Il s’installa sur la banquette alors que j’étais toujours debout devant lui. - Votre billet n'est pas composté Je vais être obliger de vous verbaliser. - Mais c’est honteux, ce n’est juste ...
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