Je deviens une pute avec plaisir
Datte: 08/08/2017,
Catégories:
Partouze / Groupe
... qui ouvre la porte. Comme souvent elle est nue. Un bon baiser appuyés sur la bouche de nous deux, une main sur ma chatte et nous entrons. Le salon est déjà plein, nous sommes les derniers. - J’ai fais ce que tu as demandé par téléphone cet après midi. C’est d’accord, les gens sont là pour ta femme. Je ne sais de quoi il s’agit. Elle me fait enlever le peu de vêtements que je porte et c’est totalement nue que je traverse le salon. Je suis tellement bien faite que je suis la proie de tous les regards, y compris ceux des femmes jalouse sans doute de ma plastique. Au passage je passe une main rapide sur les bites bandées qui se trouvent près de mon passage. Ce soir, j’en voudrais au moins deux, une dans la bouche et l’autre dans le con ou le cul, comme il conviendra à celui qui entrera dans mon ventre. Paul ne me suit même pas : il faut dire qu’il y a pas mal de femmes qui feraient son affaire avec la belle bite qu’il a. Aline me demande de la suivre. Si elle veut de moi, je suis partante : elle me plait, j’aimerais sucer son bouton au moins. Je connais déjà son odeur intime et son gout presque ambré de sa chatte. Je suis dans une chambre où ne se trouve qu’un grand lit. Et des hommes bandant. Ils sont cinq. Je n’en ai jamais eu autant à ma disposition. Je les classe en catégories selon leur bite. - La voilà, faites avec elle ce que vous voudrez ensemble ou en groupe. Je vous recommande de la faire jouir et vous de jouir le plus possible. Si elle refuse quoique ce soit, n’ayez ...
... aucune pitié, des coups de martinet. Puis s’adressant à moi : - Tu as compris salope. Si un des cinq ne te fais pas jouir, je lui flanquerais une rouste au martinet devant tout le monde, pas sur les fesses, sur les couilles. Baise maintenant. Je suis prisonnière d’un groupe d’hommes qui ne me feront pas de cadeaux, sauf de leurs bites, leurs doigts ou leurs bouches. Ils n’ont pas besoin d’employer la force. Pour moi c’est une première d’être avec 5 balèzes bien montés, trop bien montés pour certains. Je me couche, les jambes ouvertes déjà pour ne pas prendre un coup de martinet. Aussitôt c’est la ruée. Les mains sont sur mon corps, partout à la fois. Ils me font mouiller tellement je ressens les plaisirs d’être entre ces mains. Chaque sein est caressé par des mains qui ne sont pas au même gars. J’ai entre mes jambes aussi deux paires de mains l’un sur le clitoris qui bande comme jamais et l’autre sur mon con. Enfin une autre vient sur l’anus. Je m’ouvre comme je peux. Vite qu’ils me pénètre, vite qu’ils me baisent. Je meurs d’envie. Je sens que des doigts qui ne sont pas de la même main pénètrent mon antre enfin. Les mouvements coordonnés me font un bien fou. Malheureusement ils s’arrêtent juste au moment où je sentais arriver le plaisir. J’entends commentaires élogieux sur mon corps : - Elle est bien foutue, elle doit bien se laisser baiser. Je l’enculerais avant tout. J’aimerai l’enculer pendant qu’un autre la baise. Je ne peux rien dire sinon je demanderais bien d’être prise ...