1. après la plage... (1)


    Datte: 07/12/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    J’étais sur la plage depuis trois heures et mon bronzage parfait, intégral. En arrivant vers dix-sept heures, je pensais qu’il faudrait un peu de temps au soleil pour me rendre un teint convenable, en tout cas satisfaisant à mes yeux. Et satisfaite, je l’étais donc. Je me suis levée de ma serviette pour ranger dans un sac mes -rares- affaires : Un magazine, une crème solaire, ma bouteille d’eau, et mon maillot de bain deux-pièces. Je me suis étirée en constatant que mes quelques voisins, essentiellement des couples, étaient tous partis. Il restait juste un vieux couple entre moi et la dune à trente mètre dans mon dos. Dune que je devais retraverser afin de rejoindre le parking en bordure de nationale à un quart d’heure de marche. C’était ainsi le meilleur moyen d’être au calme, loin des zones de baignades surveillées à deux cents mètres, à droite comme à gauche. Et puis de ce côté-ci, le naturisme y est toléré... Je suis passé au plus près du couple, toute nue, histoire d’émoustiller le petit vieux qui semblait se cacher derrière ses grosses lunettes noires mais qui, j’en suis sûre, ne perdait pas une miette du spectacle de mon petit minou entièrement épilé et de mes seins pas trop gros mais dressés haut vers le ciel bleu. J’ai entamé une marche un peu pénible dans la dune et le sable encore bien chaud en me disant qu’un petit pipi s’imposait. Je me suis éloignée davantage vers les premiers bosquets afin de me cacher de tous : C’est à dire de personne. Seule et libre dans ...
    ... un paysage magnifique de fin de printemps... Je me suis accroupie et j’ai uriné en pensant à ce que j’allais me faire à manger en rentrant. Et là... je ne l’avais pas vu auparavant, un homme s’est dressé devant moi, les bras croisés, tout nu et tout bronzé. Je ne sais pas si il avait prémédité cette posture de voyeur mais je me suis trouvée bien idiote à expulser ma pisse tandis qu’il regardait, un petit peu gêné, quand même, dansant d’un pied sur l’autre... Au fait, je ne me suis pas présentée : J’ai vingt ans, très sportive, brune aux cheveux longs. Je pratique les arts-martiaux et d’une façon générale la zénitude sous toutes ses formes. Voilà pour moi. Je vous le dis maintenant parce que ma posture indigne de femelle qui fait ses besoins face à un homme qui mate peut faire peur à beaucoup de femmes. Dans mon cas, je saurais bien me défendre si... L’homme ? Environ soixante ans. Costaud et un sexe très épais, le gland bien dessiné, comme un chapeau posé sur un manche. Et sous le manche, une grosse paire de couilles poilues. Il ne bandait pas, par respect, je suppose ? Mais il se caressait les cuisses comme pour...se contenir ? Se contenter ainsi ? Il est resté face à moi. Je pense que si j’avais manifesté mon mécontentement, il serait parti vite fait bien fait. Mais je n’ai rien dit et j’ai fini de pisser sous ses yeux. J’ai essuyé ma chatte et j’ai continué mon chemin sans un mot de ma part ou de la sienne. Dans ce genre de situation, il convient de ne jamais se retourner. ...
«123»