1. Incertitudes hivernales (5)


    Datte: 07/12/2018, Catégories: Hétéro

    ... répondre de rien. Je continue. Elle attrape ma main. — Arrête. Vraiment. Un baiser et elle s’en va en trottinant. Je remonte également à mon bungalow et me prépare pour la soirée. Je mets une chemise blanche et un pantalon en lin et je descends préparer les apéritifs avec Albert et Daniel. Cathy arrive en même temps que les autres et elle est sublime dans son combishort. Nous échangeons un regard complice puis Cathy me rejoint derrière le bar lorsqu’Albert et Daniel le désertent. Murmures. — Tu es divine, Cathy. — Et toi, donc... Je pose une main discrète sur ses fesses. Elle frissonne puis calme mes ardeurs avec un sourire. — Pas ici, pas maintenant. Albert a fait préparer un excellent repas par un ami martiniquais et nous nous délectons des langoustes grillées et de poulet boucané. Le punch coule à flots et Albert n’est plus tout à fait en mesure de jouer de la guitare. Aussi, nous mettons de la musique et dansons. Je profite d’un slow pour inviter Cathy et nos murmures sont couverts par la musique. — Je sais que je n’ai pas le droit de te dire cela, mais j’ai envie de te revoir en rentrant. — Moi aussi. Je n’ai pas envie que cela finisse avec ce séjour. — Tu me fais craquer, Florent. Je souris. — J’ai déjà craqué pour ma part. Tes robes et tes jupes me font bien plus fait tourner la tête que le punch. Cathy rit. J’ajoute. — Et puis... et puis j’adore quand tu ne mets rien sous tes hauts, comme ce soir. ovtoyylc — Je l’ai remarqué dès le début de la semaine ! Tu es un ...
    ... coquin ! Mais je mentirais si je ne disais pas que je fais la même chose avec toi... Nous nous regardons. Je dis : — J’espère que la soirée ne va pas tarder à finir. — Ne te fais pas trop d’illusions. Comme c’est parti, nous ne sommes pas couchés. Cathy avait raison. Nous avons mangé encore, bu encore, fini toutes et tous habillés dans la piscine. Et j’étais bien trop ivre pour constater des transparences ou pour faire des bêtises avec Cathy. Je me souviens par flash de la manière dont je suis revenu à mon bungalow et comment je m’y suis couché. Le lendemain matin, le réveil est difficile. La journée est consacrée aux bagages et nous partons pour l’aéroport en début d’après-midi. Je fais la sieste après le check-in. Dans l’avion, Cathy et moi sommes assis côte à côte et Cathy garde ma main dans la sienne durant la majeure partie du voyage. Après notre courte escale à Paris, nous ne sommes plus assis à côté. En milieu de matinée le dimanche 16 novembre, le principal choc n’est pas l’atterrissage un peu brutal du pilote sur la piste, mais la tenue de Jessica lorsque je franchis les portes des arrivées. Ma copine est un fantasme, sexy et excitante au possible. Elle porte un tailleur jupe strict gris bleu et un blazer assorti sous lequel elle a passé un chemisier de mousseline noire. La tenue pourrait être neutre si le chemisier ne laissait pas transparaître ses gros seins dressés avec arrogance par un redresse-sein et si la jupe stretch ne moulait pas le porte-jarretelles tant sur ...