1. ce coquin de propriétaire ! (1)


    Datte: 08/12/2018, Catégories: Erotique,

    ... autant une bière. - Pas de problème. Il mit deux flutes et un verre à bière puis s’excusa pour revenir quelques minutes plus tard, une canette dans une main et un champagne rosé dans l’autre. Il menait à merveille la discussion, au départ, il parlait un peu à nous deux, s’intéressa à la profession de Loïc et y vit un réel intérêt. - Eh bien, si j’ai quelques soucis de chauffage, je saurais qui appeler. Des soucis de chauffage, on ne peut pas dire qu’il en avait en ce moment, car il faisait très chaud, limite surchauffé. J’en regrettais presque d’avoir mis mon gilet, mais je n’osais pas l’enlever. Rapidement, sa conversation s’est dirigée vers moi. Il s’intéressa à mes études et me posa pleins de questions sur le programme, mais aussi sur mon planning. Il m’indiqua ensuite qu’il avait une belle bibliothèque avec de nombreux ouvrages, dont un bon nombre en rapport avec mes études, il se leva, me prit la main pour m’encourager à me lever. - Venez-voir, je vais vous montrer. Loïc, hésita un peu, puis se leva à son tour pour nous suivre. Il se dirigea vers un petit couloir, ouvrit une porte et m’invita à entrer en posant délicatement sa main dans le creux de mes reins pour me guider vers l’intérieur de la pièce. Son geste n’était pas vraiment coquin, mais mes joues, déjà bien rouge par l’effet de la chaleur et la première flute de champagne déjà bu, devinrent écarlates. Marc me regarda en souriant. - Vous voilà bien rouge, je sais, j’ai un grave défaut, je chauffe trop. Loïc ...
    ... était avec nous, mais n’avait pas vraiment remarqué le geste de Marc, ou l’avait simplement trouvé anodin. Il confirma la remarque de Marc. - Mais c’est vrai que tu es rouge, tu as trop chaud ? Que devais-je répondre ? J’avais certainement mal interprété le geste de Marc, d’ailleurs, Loïc était avec nous, il n’aurait certainement pas eu cette « audace », le geste se voulait simplement amicale. - Oui, il est vrai que j’ai un peu chaud. Dis-je d’une petite voix. - Laissez-moi vous débarrasser de votre gilet, vous serez plus à l’aise. Que devais-je faire ? Refuser ? Pour quelle raison ? J’avais moi-même admis que j’avais trop chaud. A peine enlevé il prit mon gilet et commença à me montrer ses livres. Il avait effectivement une belle collection et j’ai découvert quelques ouvrages qui devraient m’être utiles. J’en ai choisi deux, qu’il a sorti de l’étagère mais qu’il a gardé avec lui. - Retournons au salon, la bouteille n’est pas finie. zqnzssrc Dit-il en riant. - Je ne sais pas, j’ai déjà pas mal bu. - Une seule flute, ce n’est pas cela qui va vous faire perdre la tête… et vous n’avez qu’une allée à traverser pour rentrer chez vous. Il se tourna ensuite vers Loïc. - Une autre bière ? - Pas de refus. Il invita Loïc à passer en premier, puis du même geste que tout à l’heure, sa main dans le dos, me guida vers le couloir. Le gilet ôté, l’épaisseur du tissu de la robe bien léger, je pouvais sentir encore mieux ce contact, à peine perceptible, mais bien plus que la première fois, j’ai eu ...