Brice
Datte: 08/12/2018,
Catégories:
fh,
danser,
fête,
Oral
pénétratio,
ecriv_f,
... voiture, à mesure que l’on se rapprochait de chez moi, je sentais un voile de tristesse m’envelopper. Cette délicieuse soirée finie, nous allions cesser notre comédie pour reprendre nos rapports amicaux et ça me pesait déjà. Enfin il se gara devant mon immeuble. « Je te raccompagne jusqu’à ta porte, on ne sait jamais ». Je ne voulus pas argumenter qu’il était peu probable qu’il m’arrive quoique ce soit dans l’escalier, j’étais ravie de ces quelques minutes supplémentaires. J’ouvris ma porte, et il me remercia pour la soirée « je me doit un service en échange. » Je répondis aussitôt « alors embrasse moi ». Ce baiser fut merveilleux, et au moment où je sentis qu’il allait finir je l’attrapais pour l’entraîner à l’intérieur et fermais la porte sur nous. Je commençais à déboutonner sa chemise et glissais mes mains sur sa poitrine. Sa peau était douce et chaude, comme je l’avais présumé. La chemise glissa au sol. Alors Brice m’arrêta, m’éloigna de lui, et me regardant droit dans les yeux il me dit « Je ferais mieux de partir, si on continue je ne pourrais plus m’arrêter » « Tu veux vraiment partir ? » « Non, mais c’est mieux, je ne veux pas que tu regrette demain ». J’eu un petit rire, et en guise de réponse je fermais la porte à double tour avant de venir faire courir mes lèvres sur son dos, puis son torse. Immobile, il tentait de garder le contrôle, et moi par mes baisers je faisais tout pour qu’il le perde. J’embrassais son cou tout en faisant courir mes mains dans son dos, ...
... puis glissais mes doigts sur son ventre pour aller défaire sa ceinture. Je sentais son souffle s’accélérer, mais il se forçait à ne pas bouger. Je déboutonnais son pantalon et y glissais une main pour lui caresser les fesses à travers son boxer tout en me serrant contre lui pour lui mordiller le lobe de l’oreille. Lorsque ma main effleura son sexe tendu à travers son boxer, il m’attrapa par les bras et m’éloigna de nouveau. Ses yeux scrutaient mon visage, son regard brûlait de désir et d’interrogation. « Tu es sûre ? » Je n’avais jamais été aussi sûre de moi qu’en ce moment. « Je t’en prie… » Alors tout s’accéléra. Il me prit la bouche fiévreusement, ses mains parcourraient mon corps comme les miennes l’avaient fait sur lui quelques minutes avant. Il releva ma jupe, caressant ma cuisse, ses doigts frôlèrent mon slip et je sentis une décharge me traverser le corps. « Viens » je l’entraînais dans ma chambre. À la vue du lit où je me couchais seule depuis si longtemps je réalisais que je m’apprêtais à me donner à cet homme, moi d’ordinaire si raisonnable et pondérée, je ne me reconnaissais plus. Mais il me suffit de le regarder pour que tout doute s’envole. Il avait senti mon hésitation et s’était arrêté, incertain, mais lorsque j’enlevais résolument mon chemisier il eu un sourire ravageur. Ses lèvres vinrent se poser sur les miennes, puis glissèrent dans mon cou, puis doucement plus bas vers mes seins dressés. Sa langue joua avec un mamelon tandis qu’il amusait l’autre de ses ...