Gudrun (6)
Datte: 08/12/2018,
Catégories:
Erotique,
... nous, les assoiffées du sexe. Il pourrait bien le trouver un peu changer au retour. Le problème sera au retour d’Ami, il faudra bien le styler pour pas qu’il déborde du cadre strict qu’on va lui fixer et nous laisser manœuvrer. Mais objectivement, je me réjouis de faire son éducation, ce ne sera que douce vengeance pour les libertés qu’Ami a prises avec moi. Je pense que Myriam ne sera pas contre de m’aider. * Four banal : au Moyen Âge, four d’un seigneur où les vassaux devaient faire cuire leur pain moyennant une redevance Comment Saïd arrive à ses fins ou tante à Sion quand tu nous tiens. À peine arrivé, Saïd, grand sourire, prend ses belles-mamans à part. – Vous avez entendu, je dois remplacer mon père, il n’a pas fixé de limite. – Erreur, il t’a bien dit de ne pas te noyer. Cela te dirait de faire ce premier cours de natation ce soir, quand tu auras distribué les ordres au personnel ? – J’espérais pas si vite, mais volontiers, si tu ne m’aides pas, je ne sais pas nager et je suis sûr que je vais couler comme une pierre. – Aucune chance, surtout dans une piscine si on est avec toi. Chef, tu veux qu’on soit dans quelle tenue ? En burqa ? Ou comme dans le sauna en Norvège. Moi je serai pour voir si tu as fait des progrès depuis là-bas en matière de maintien. – D’accord, mais vous partez avec un avantage certain. – Comment cela ? – Chez une femme, on ne voit pas les signes extérieurs de ce que l’on doit maintenir ou plutôt contenir. – Tu as raison, mais on va aussi ...
... t’expliquer tout cela. – C’est vrai ? Ouah ! Je pense que cela fera plaisir à Amina la lingère qui me fait toujours les gros yeux quand elle ramasse mes mouchoirs. – Tu es sûr qu’elle fait les gros yeux de réprobation ou plutôt d’envie ? Tu es un beau garçon, je suis sûr qu’elle ferait bien son ordinaire avec toi. – Peut-être, mais père m’a bien recommandé de ne pas mélanger les torchons et les serviettes, qu’il ne faut pas toucher le personnel. – Pour nous, il n’a rien dit ? Demande malicieuse Myriam que cette discussion échauffe. – Non, je suis un peu surpris, cela n’a pas dû lui effleurer l’esprit. – Bon après le souper qu’on va fixer de bonne heure, avant que la nuit tombe, on se retrouve à la piscine pour la première leçon de natation, en premier, je vais t’apprendre à ne pas avoir peur de l’eau. Dans la douceur de la soirée, éclairé malgré tout de quelques torches, la porte gardée par le malabar qu’ils ont mis de leur côté, les trois se retrouvent à la piscine dans le plus simple appareil. Saïd, qui connaissait déjà bien la plastic de Gudrun, admire Myriam dont l’astrakan couvre le trésor de son père. Il ne peut empêcher son corps de se manifester et commence à bander comme un bouc en rut. Gudrun, les sourcils froncés : – C’est comme cela qui tu as amélioré ton maintien ? – Excusez-moi, c’est plus fort que moi, vous êtes si belles. – Bon à l’eau, vers le bord où tu as encore ton fond. Tu vas regarder les premiers mouvements de cette nage qu’on appelle la brasse. Regarde bien, ...