1. La t(an)tation d'Arthur 08


    Datte: 09/12/2018, Catégories: Première fois

    Je souris dans mon demi-sommeil, mais je n'ouvre pas les yeux. Des lèvres effleurent les miennes. Une langue pointe et darde, discrète, molle, contre ma bouche. Une main cherche mon caleçon, le trouve, le fouille, en tire ma queue endormie et la caresse avec délicatesse. Je ne sais pas encore si c'est Méli ou Annie qui m'embrasse, qui me branle du bout des doigts. Ma respiration devient plus profonde à mesure que mon sexe enfle et durcit, ma visiteuse du matin me saisit bientôt à pleine main et cherche à me faire venir prématurément, manifestement... J'ouvre la bouche, ma langue happe la sienne. Annie. Définitivement. Elle accélère le rythme. Elle veut mon sperme, c'est certain. Mais c'est hors de question. Je veux davantage, aujourd'hui, je veux baiser une femme. Deux, même, si je peux, si tant est qu'on puisse appeler Méli une femme. Après tout, si c'est ce qu'elles veulent, je vais le leur donner. - Tu vas finir par croire que je ne pense qu'à ça... J'ouvre un oeil et je souris. Elle est en nuisette courte qui ne cache pas grand chose dans la lumière du matin. - B'jour. Je jette un regard inquiet vers la porte. Si quelqu'un entre... Elle rit silencieusement. - J'ai fermé à clé. Je suis toute à toi. Fais-moi une place. - Mmm... tu viens sur moi ? Elle rit encore. - Oh, Monsieur Arthur a des idées, ce matin ? Très bien. Elle soulève la couette et s'allonge sur moi. Mon coeur manque plusieurs battements. Elle soulève sa nuisette. Ma queue est coincée entre son ventre ferme ...
    ... et le mien. Je respire plus vite. On va le faire ! On va le faire ! Je glisse mes mains sur ses seins - mous, gros, doux, aux tétons drus - et les malaxe à même la peau. Elle gémit et m'embrasse à pleine bouche. Elle remonte légèrement le bassin jusqu'à ce que mon érection sous en contact avec... Elle sourit et me chuchote à l'oreille: - Quel dommage que j'aie remis une culotte ce matin. Je suis essoufflé tellement j'ai envie. Je ne pense pas droit. Mes mains descendent jusqu'au cul rebondi et passent sous le tissu. Elle a les fesses fermes et fraîches. Annie se soulève sur les coudes et ondule le bassin en frottant sa chatte brûlante contre ma pine. Je pousse sur la culotte et libère le cul magnifique que je malaxe de plus belle. - Enlève-la... Elle feule. - Ne me tente pas... - S'il-te-plaît... - Allons, mon neveu coquin, profite de ce que je te donne... par exemple... ceci... Elle écarte encore les cuisses et frotte le coton humide contre ma bite, je sens le sexe qui s'ouvre, l'envie bouillante, elle halète, je geins, la torture est terrible. - Oh... Elle accélère le rythme, je comprends qu'elle se masturbe sur moi, qu'elle ne cherche pas mon plaisir mais le sien, mes mains plongent entre ses fesses, mes doigts trouvent la fente trempée et grasse et la caressent sans oser y pénétrer. Elle se tend. - Arthur ! Mon majeur glisse dans l'espace élastique, distendu. Des étoiles explosent dans mes yeux. Elle cesse de respirer en ondulant le cul pour que j'aille plus loin. - Oh... ...
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