1. Punition


    Datte: 09/12/2018, Catégories: fhhh, cocus, nympho, sport, douche, vengeance, facial, Oral pénétratio, double, Partouze / Groupe fdanus, fsodo, totalsexe,

    ... Mais c’est salaud ça ! Et comment t’as su que…— Un vrai complot ! J’ai compris depuis longtemps que tu baisais avec notre ami ici présent. Je lui ai demandé s’il était d’accord pour qu’on filme une de vos séances. Sans que tu le saches, bien sûr, pour que tu sois plus naturelle et spontanée. On s’est mis d’accord pour un jour, une heure, un endroit et un scénario. Regard noir vers moi, mais j’ai la réponse prête : — Qu’en plus tu sois filmée, et alors ? Quand on baisait, tout à l’heure, tu m’as avoué à nouveau, je ne l’ai pas rêvé, que tu aimerais que ton mari te voie te faire mettre par un autre pendant que tu le suces. Et qu’en plus, il te filme. Tu ne vas pas dire le contraire ?— Oui, mais vous êtes quand même des salauds, c’est dégueu d’avoir fait ça dans mon dos…— Quoi, tu veux me faire la morale ? Dis-donc, tu t’es conduite comme une épouse dépravée, et déjà rien que pour ça tu mérites d’être punie.— Punie ? Encore ? Son mari, souriant : — Oui ! Et par là où t’as péché, voyons ! Il lui saisit la tête et la force à le regarder. Le jeu : — Répète que tu mérites encore une punition pour ce que tu as fait, répète !— Mais…— Dis-le ! Je lui avais déjà posé la question, même réponse : — Oui… oui… je mérite une punition, et même… je la veux, dit l’épouse indigne avec une ébauche de sourire narquois. Il lui lâche les cheveux et lui prend les seins à deux mains pour les caresser. Ses doigts agacent les bouts qui durcissent. Son regard dans le sien : — Et tu sais ce que c’est la ...
    ... punition ?— Me baiser ?— Ça tu peux le dire ! Pour être baisée, tu vas être baisée ! Plus que tu ne l’imagines.— Plus que quoi ? Je ne comprends pas…— Tu vas tout de suite comprendre ! Il se tourne vers la porte encore ouverte : — Venez ! Le ciel lui tombe sur la tête : trois gars entrent dans le vestiaire. Ils sont déjà nus. Ils ont dû se déshabiller dans l’autre vestiaire et, malgré son extrême surprise, elle ne peut s’empêcher de reluquer en premier leurs queues. Des queues comme elle les aime : longues, épaisses et dures. Elle réalise illico ce que ces queues ont en tête (… de nœud ? – pardonne-moi, lecteur pour ce mauvais nœud de mot). Bref, que ces queues sont là pour elle, rien que pour elle et toutes pour elle. Cela lui électrise le bas-ventre. Ses mains cachent toujours sa pudeur. Son mari et moi lui saisissons doucement les poignets et lui écartons les bras. Aucune résistance. Sa motte s’offre impudiquement à la vue des trois étalons qui n’en perdent pas une miette. — Putain, un vrai trésor qu’elle a entre les cuisses, ta femme !— Ouvre bien les cuisses, commande son mari, montre-leur ta chatte, qu’elle leur plaise, car tu vas avoir beaucoup de travail pour te faire pardonner. Elle s’exécute sans réticence. Elle saisit dans leurs regards des flammes de concupiscence qui lui dopent la libido et s’ouvre d’autant plus. Elle les nargue : — Je suis curieuse de voir ce que vous valez. Suffit pas d’avoir de grosses queues, faut aussi savoir s’en servir !— Quoi, attends ! ...
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