Anna et moi
Datte: 09/12/2018,
Catégories:
fh,
ff,
Collègues / Travail
piscine,
cérébral,
vidéox,
Masturbation
massage,
Oral
pénétratio,
confession,
initff,
extraconj,
fplusag,
... une planète de douceur. Je sentais ses doigts détendre mes muscles et doucement gagner du terrain dans mon décolleté ; mais, les yeux fermés, je ne les repoussais pas. Elle comprit son avantage et posa sa bouche près de mon oreille pour murmurer : — Je vais m’occuper de toi, ma Val. Loin de me choquer, ces mots tendres me firent comprendre que ce serait elle, ici et maintenant. Je gémis dès que sa main glissa en direction de mon soutien-gorge, faisant se dresser davantage mes pointes. Immobile, cette main faisait pourtant frémir mon corps comme jamais. Je pouvais encore reprendre pied et tout arrêter, mais je n’en fis rien… Ses doigts glissèrent sous le tissu et mon sein fut cajolé par une experte. La bouche entrouverte et le souffle court, j’étais en fusion. Un baiser dans le cou puis près de mes lèvres annonça la suite qui s’annonçait torride. Sa bouche chercha la mienne pour un baiser d’abord tendre, puis sensuel quand mes lèvres cédèrent à la tentation. Mon premier baiser de femme ! Au goût de rouge à lèvres à la framboise, à la langue agile et souple.« Purée, que c’est doux… » pensai-je furtivement avant de me laisser embrasser avec délectation. Je gémissais de plus en plus, d’autant que sa main jouait avec mon sein avec une virtuosité affolante : mon téton était frôlé, agacé, pincé au rythme de nos langues, et bientôt mon string fut à tordre. Anna comprit qu’elle ne devait pas me laisser réfléchir et poussa son avantage en remontant ma jupe de sa main libre, sans ...
... protestation de ma part. Je devais lui offrir un spectacle électrisant : jupe à la taille, string blanc taché d’humidité prometteuse et chemisier à moitié défait investi par une main experte. Le rempart de mes dessous ne fut qu’une formalité, et à peine sa main posée sur mon sexe glabre je gémis de plus belle, lâchant des bruits assourdis par notre bouche-à-bouche. Elle frôla à peine mon clitoris pour un regret furtif vite dissipé quand elle plongea deux doigts dans ma grotte. Je sursautai de surprise et de plaisir consenti. J’étais à elle, et elle le savait, la bougresse ! Ses doigts fins aux ongles courts caressaient les parois de mon vagin avec une dextérité affolante. Mon bassin ondulait tel un poisson tentant d’échapper à l’hameçon, mais j’étais bien ferrée ! Telle une ado caressée lors de sa première boum, je me laissais faire, trop troublée par mes sensations pour les repousser. Je respirais de plus en plus vite, sentant l’orgasme arriver… Anna le comprit aussi et ne baissa pas la garde, interrompant juste notre baiser pour m’encourager d’une voix rendue rauque par le désir en accélérant les mouvements de son poignet : — Vas-y, laisse-toi aller, ma chérie. Tu es belle… J’accueillis ces compliments d’un gémissement puis me laissai aller complètement. Mon bassin allait à la rencontre de sa main dans une parfaite communion, et bientôt mon vagin se crispa sur les doigts de mon amante tandis qu’un flot de cyprine lui poissait la main. Je jouis dans un cri rauque, les muscles ...