1. Le bain érotique ou Myosotis au château


    Datte: 10/12/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    ... et même si le feu vert n'avait pas encore été donné par toutes ses personnes, le Comte récupérait le pouvoir de me faire venir chez lui tout les jours dans son chateau , vu les circonstances. Il était heureux de m'avoir dans son chateau des 7 heures du matin et il n'hesitait pas a me refaire dormir dans la matinée pour que je ne sois pas en manque de sommeil...mais Philippe vivait trés mal cette situation et ne pouvais rien faire au risque d'etre pris pour un mari jaloux, trop possessif et tiranique... il survellait tout mais de loin. Plus les semaines passaient... Le Comte était vraiment aux petits soins pour moi , encore plus que d'habitude. Je devais faire le moins d'efforts possible , et faire des sièstes aprés chaques nombreux et copieux repas allongée prés de la cheminée. Il venait me voir réguliérement dans la journée, prenait de mes nouvelles, et ça finissait souvent en delicieux rapport sexuel. Quand je repartait le soir avec mon bébé , j'avais a cette période précise encore le droit de retourner chez moi et dormir avec mon mari Philippe (puisque j'avais accouché plusieurs mois avant que la Comtesse ne soit a therme de sa propre grossesse¨) , j'emportait toujours un panier rempli ...
    ... de nourriture. Comme je ne pouvais vraiment plus rien avaler, je donnais le contenu du panier a des familles vraiment misérables qui ne mangeaient pas forcément tout les jours...mais je me gardait bien de le dire au Comte,autrement il aurait raler. Et je pense aussi qu'il m'aurait même passer un savon pour ça , alors je lui ai caché ce dossier. Au bout de quelques mois, 2 ou 3 grand maximum : Je grossissais de plus en plus, j'avais bien pris 10 kilos gramme ajoutée a ceux que j'avais deja pris pendant ma grossesse qui n'etait pas si loin que cela...Mes seins gonflaient comme des gros ballons ainsi que tout le reste du corps, mêmes mes hanches n'ont jamais étées aussi arrondies, je ressemblait a une vraie vache a lait. Le Comte s'en réjouissait de mon exeptionelle prise de poids. Il s'allongeait souvent sur moi quand il me faisait comprendre que je l'excitait et qu'il avait envie de me faire l'amour. Je sentais que je lui plaisiat encore plus a sa façon de me toucher, de me caresser et de me pénétrer avec sa grosse queue bien dure. Le jour J : Le Comte est devant la porte de son bureau, il m'attend et me dit que "tout va bien se passer" Je passais "l'entretient d'ambauche..." A suivre ... 
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