1. Retour du travail


    Datte: 10/12/2018, Catégories: fh, couplus, extracon, cocus, Collègues / Travail fsoumise, noculotte, Oral pénétratio, fsodo, confession,

    ... sur un canapé où nous avons abordé tous les détails du contrat. À ce moment, j’ai pensé à toi, me disant que tu pouvais appeler au bureau et ne pas me trouver et que, comme j’avais éteint mon portable, tu ne pourrais me joindre. — Je vois que tu avais déjà une petite idée derrière la tête, à ce moment-là ! N’est-ce pas ?— Oui, je dois avouer que j’avais chaud dans le bas du ventre et que j’avais quelques difficultés à argumenter ma proposition. Il l’a bien senti parce qu’après avoir servi une seconde coupe, alors que j’avais les mains occupées par la coupe et mon stylo que je tenais toujours, il en profité, en me disant « Vous me donnez une envie irrésistible ! » pour venir me caresser la poitrine et en se penchant vers moi, il a posé ses lèvres sur les miennes sans que je sache réagir ou dire non. Sentant mon consentement, il a continué à m’embrasser et j’ai ouvert la bouche pour sentir sa langue et son goût. Ses mains se sont faites plus fermes sur mes seins et il a vite ouvert mon chemiser pour venir me caresser de plus près. Sa bouche avait un goût de champagne et de fraîcheur très agréable. Je savais qu’on n’en resterait pas là et je me suis dit intérieurement qu’on en avait le temps. J’en avais envie et je savais, puisque tu me l’avais déjà proposé, que je pouvais disposer d’un plaisir et d’une envie soudains.Je me suis laissée aller dans le canapé et il m’a débarrassée de ma coupe et de mon stylo, s’est rassis tout contre moi et a repris ses baisers tout en me ...
    ... caressant de partout. Ses mains glissaient sur ma peau et me retiraient toutes mes dernières barrières. Il me parlait doucement, me disant qu’en me voyant arriver, il avait eu immédiatement un désir fou et qu’il ne savait pas comment me séduire et me retenir. Qu’il était heureux que je sois là et que je n’aie pas refusé ses avances.Je me suis vite retrouvée les seins nus, dressés sous le traitement attentif de sa langue et la jupe retroussée jusqu’à la taille, les cuisses largement ouvertes sous les assauts de sa main. Avant que je n’aie pu faire quoi que ce soit, sa main a bien senti que ma chatte coulait d’envies de caresses, de coups de langue et de doigts inquisiteurs. Sentant que j’étais à sa merci, il s’est relevé pour se déshabiller et vérifier ainsi mon consentement. Nu, j’ai pu constater qu’il était encore très bien de sa personne et que son sexe, déjà bien rigide, n’avait rien à envier à quelqu’un de plus jeune. — Était-il mieux que le mien ?— Ne sois pas ridicule ! Ça n’a rien à voir et je ne te compare pas. Laisse-moi continuer, sinon j’arrête si tu me coupes avec tes questions oiseuses.— OK, OK, continue, tu sais pertinemment que ça m’excite.— Je sais très bien et c’est bien pour t’exciter que je te raconte. Le buste nu et la jupe retroussée comme la dernière des traînées, il m’a allongée sur le canapé. Tu sais comme j’aime cette sensation, quand un homme a envie de moi et qu’il n’attend que de pouvoir me baiser et de se vider en moi. Là, j’étais aux anges ; c’est comme ...