1. Une fête des mères très sexe... (1)


    Datte: 10/12/2018, Catégories: Inceste / Tabou

    ... la bouche, sa respiration s’accéléra. Il était au bord de l’extase. — Ha c’est bon, maman ! Continue, je vais jouir ! Ma mère se redressa brusquement. — ha non ! Pas question de jouir, pas encore ! Vous m’avez excitée, il va falloir assumer maintenant. Elle se leva alors et devant nos yeux ronds de surprise, elle commença à se déshabiller, retirant jupe et chemisier. Puis elle jeta soutien gorge et culotte sur une chaise. Elle était nue, nous faisant face. A son tour elle exhibait un corps superbe, encore très bien conservé. — Allez les garçons, au boulot ! Elle se retourna et se pencha en avant sur la table du salon, nous présentant son beau gros cul. Dans cette position, bien cambrée, jambes légèrement écartées, sa chatte était bien visible, prête à recevoir la première de nos queues qui allait se présenter. — Allez, vous attendez quoi ? Venez me prendre ! Avec Loïc on en revenait pas. Ca, vraiment, c’était pas prévu. — Merde Loïc, c’est notre mère ! On peut pas la baiser ! — Putain, Martin, t’es con ou quoi ? Regarde son cul, il est trop beau ! Et sa chatte, regarde, elle dégouline déjà de son jus tellement elle est excitée ! Vas y, sinon moi j’y vais ! Loïc avait raison. Alors j’y suis allé. Sans prendre plus de gants, je me suis positionné derrière ma mère, j’ai orienté ma queue vers sa vulve et je l’ai rentrée. kqmkddjx Quel bonheur ! Sentir ma queue glisser dans son vagin était extraordinaire. Une fois à l’intérieur je suis resté quelques secondes sans bouger pour ...
    ... profiter de la chaleur intime de ma mère. Puis j’ai entamé des va et vient qui semblèrent tout à fait la contenter. — Ha oui mon chéri ! Elle est bonne ta queue ! Vas y ! Plus fort ! J’augmentais encore la cadence de mes mouvements. C’était incroyablement délicieux. Je regardais ma grosse queue entrer et sortir en rythme de sa splendide vulve. C’était fantastique. Je l’aurais baisée ainsi encore un moment, mais derrière moi Loïc faisait pression. — A moi, frérot. Laisse moi essayer ! Je lui laissais la place. Il introduit son énorme sexe dans le vagin trempé de notre mère. A son tour il la baisa sans ménagement, avec une folle vigueur. — Ha mon dieu, qu’elle est bonne votre bite, mes fils ! Viens Martin, je vais te sucer ! En même temps qu’elle se faisait défoncer par la grosse queue de Loïc, elle se mit à me pomper avec gourmandise. Loïc était trop excité. Au bout de quelques minutes à se retenir, il sentit la jouissance monter. — Ha maman, c’est trop bon ! J’en peux plus ! — Vas y mon chéri ! Jouis ! Jouis dans ta maman. Et toi Martin, si tu as envie, laisse toi aussi aller, jouis dans ma bouche ! Il ne m’en fallait pas beaucoup pour lui obéir. Je me laissais aller et sentis une immense chaleur envahir mon bas ventre. Mon sperme jaillit dans la gorge de ma génitrice. Elle ne lâcha pas ma queue, avalant tout mon jus. Pendant ce temps Loïc se déchargeait dans sa chatte. On est resté un moment sans bouger. Maman dégoulinait de sperme de partout. Elle était radieuse. Avec Loïc nous ...