La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°815) - Histoires de Sexe

La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°815)

... - Ça c’est la phrase qu’on attend d’une soumise du Domaine, je veux entendre ce que tu penses et ressens réellement. - Monsieur, je le pense réellement, je respecte Le Maître, et si je le respecte tant ce n’est pas par ma position, mais parce qu’il est un Grand Maître qui sait se montrer impartial et intègre en toutes circonstances. - Tu n’as jamais reçu un seul coup qui n’était pas mérité ? interroge l’homme en zébrant de nouveau son fessier. - Jamais sur ordre de Monsieur Le Marquis, Monsieur. L’homme se place devant Keira, il lève sa tête en la prenant par les cheveux, plonge son regard austère dans le sien, et lui dit très calmement : - Je sais très bien ce que tu penses réellement, je veux t’entendre la dire, la vérité, je veux t’entendre dire que le Maître n’est pas un bon Maître, qu’il est injustement sévère, et que si tu lui appartiens ce n’est pas par choix mais par obligation. Je te conseille de me l’avouer rapidement avant que ton fessier soit plus ardent que le foyer de ma cheminée. - Monsieur, je parle en toute sincérité, ce que je dis est la stricte vérité, si vous ne me croyez pas vous pouvez continuer de me fouetter, mais aucun mensonge ne sortira de ma bouche aujourd’hui, encore moins concernant Le Maître que je respecte et vénère profondément. - Ah oui, tu penses réellement que je ne suis pas capable de faire plier une jeune ...

... chienne comme toi ? interroge l’homme d’une voix fâchée en abattant plusieurs coups d’affilé. - Vous n’avez pas besoin de me faire plier, je vous dois obéissance, et je vous obéirai, mais je ne peux le faire si vous me forcez à renier le Maître. Comme seule réponse la jeune femme reçoit une dizaine de coups qu’elle reçoit stoïquement, sans aucune réaction, même si la douleur qu’elle ressent devient intense. - J’attends, gronde l’homme. Mais soumise Keira MDE ne répond que par le silence, refusant délibérément d’obéir à un ordre qui va à l’encontre de ce qu’elle est, de ce qu’elle ressent, de ce qu’elle pense. Elle reçoit encore un nombre incalculable de coups, avant que l’homme ne stoppe. Il observe un instant le fessier strié de la jeune femme, passé du rouge au violet, il sourit avec perversité, puis décide de s’arrêter là. - Tu as conscience que je dois faire mon rapport au Maître, et que je saurai lui parler de ton refus d’obéir ? dit-il d’un ton calme une pointe de sadisme dans la voix. - J’en accepterai les conséquences, Monsieur. - Hum, soit, nous verrons bien. Je dois aller voir mes hommes pour suivre leur travail de coupe, tu vas m’accompagner, tu sauras bien récompenser les plus méritants, il y a longtemps qu’ils n’ont pas eu de femelles, et ils commencent à se lasser des mâles soumis et de leur petit trou du cul de lopettes... (A suivre …)