1. Le fantasme de mon amie............ Peut être (3)


    Datte: 11/12/2018, Catégories: Lesbienne

    ... la robe, et me l’a tendu. — Les cabines d’essayage sont au fond, essayez là. J’ai pris la robe, appréciant la texture du tissu. — Elle doit être agréable à porter, j’aime ce tissu. Je me suis enfermée dans la cabine pour changer de vêtement. Ça a été très rapide, le temps de quitter mes vêtements, et d’enfiler l’autre. Je suis sortie, finissant de nouer la ceinture qui retenait les pans de la robe. La vendeuse est venue nous rejoindre, donnant ses impressions. — Elle a été faite pour vous ! Elle vous va à ravir. — Non, j’ai l’impression qu’elle est trop grande, tirant sur le haut de la robe, et faisant constater le lâche au niveau de la poitrine. — Je peux la reprendre, et vous arranger ça, ce n’est pas grand-chose, quelques retouches. — Non ce n’est pas la peine, il y a trop de boulot. — Elle vous plait ? — Bien sûr ! Je la trouve très agréable à porter, elle est légère. — Venez, suivez-moi, je vais vous arranger ça rapidement. Elle est allée fermer la porte de son magasin, m’a prise par la main, et m’a entraîné dans une pièce du fond, derrière les cabines. Elle m’a invité mon ami à nous suivre. Nous avons pénétré dans un petit salon, meublé d’un grand canapé blanc, d’une glace plein pied, et d’une petite table basse. Elle m’a placé devant la glace, s’est placée derrière moi, et a commencé à mettre de l’ordre dans le vêtement. Elle tirait d’un côté, épinglait de l’autre, transformait la robe pour la faire épouser son corps. Au bout de quelques minutes, le tissu épousait ...
    ... parfaitement ma silhouette. Elle a fait le tour, me faisant tournoyer, pour admirer son œuvre. C’était bluffant, elle m’allait à ravir, sexy, très attirante. La vendeuse s’est remise derrière moi, face au miroir, en me demandant : — Alors qu’en pensez-vous ? Elle vous va à ravir ! — Oui là, ça va mieux. J’aime assez. Tu en pense quoi mon chéri ? — Parfait ! Tu es à croquer. Tu vas faire des ravages. — Je confirme ! Répondit la vendeuse, mais j’ai encore quelques petites rectifications à faire. Vous permettez ? — Faites ! Je suis entre vos mains. Elle s’est affairée un court instant, tirant légèrement sur le tissu. Ses doigts lissaient les plis, s’attardant sur les cuisses, les fesses. A un moment elle s’est frayée un chemin par l’ouverture de la robe portefeuille. Sa main s’est posée sur une de mes cuisses, caressant du bout des doigts l’intérieur, là où la peau est la plus douce, pendant que son autre main remontait sous un de mes seins. Elle a enveloppé la chair, et ses doigts ont cherché le téton, déjà bien dressé sous l’influence du tissu. Elle l’a saisi, le faisant rouler, le triturant. La caresse m’a fait me se redresser, une décharge électrique m’a traversé le corps. Mes jambes se sont légèrement écartées, facilitant la caresse de la main sur sa cuisse. Je cherchais du regard mon homme, pour connaître sa réaction. Mon regard et celui de la vendeuse cherchaient une réponse sur la suite des événements. Le sourire qu’il affichait était plus qu’un assentiment, c’était une ...
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