Mon voisin
Datte: 09/08/2017,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
... sur mon épaule gauche. Il s’approcha un peu plus. Il était tellement prêt que je pouvais sentir son parfum, boisé, poivré tel le gingembre, vanillé à la fois, aussi enivrant que le champagne. Les frissons sur mon corps s’intensifièrent. Du bout des doigts il caressa mes bras, ses lèvres effleurèrent mon cou ; il baissa une bretelle de ma robe et y déposa de doux et tendres baisers. Ses mains se firent plus précises, il les promena sur les côtés de mon corps jusqu’à mes hanches. Waouh ! Quel jeu de séduction sur fond de blues ! Je peinais à respirer, lui aussi ; je sentais son souffle sur mes épaules, trop fort en sensations. J’aspirai une bouchée d’air, respirai profondément et me retournai. Ses yeux bleus azur se noyèrent dans les miens, nos lèvres se touchèrent. Nous échangeâmes un long et frénétique baiser. Je ne sais par quel miracle ma robe tomba à terre, j’ôtai son tee-shirt. Je collais mes seins sur sa poitrine, nos corps étaient chauds. La transpiration montait mélangeant nos subtils parfums vanillés, boisés, fleuris, poivrés, ce qui accentua l’excitation. Nous étions enlacés et ce baiser langoureux n’en finissait pas. A mon tour de magie, son bermuda rejoignit ma robe au sol. Il n’avait pas de sous-vêtement, le coquin ! Il m’attira vers son canapé et je m’allongeai. Il enleva ma culotte, ce qui m’excita encore plus [j’adore quand on enlève ma culotte]. Il embrassa tout mon corps, chaque centimètre eut droit à un baiser humide, chaud, il me faisait languir : il ...
... embrassa mon ventre, le creux de mes bras, les creux de mes aines, l’intérieur de mes jambes ; je me retournai et il continua ce rituel dans le creux de mes reins, les mordillant de temps à autre. Il caressa mes fesses, les embrassa les mordilla aussi … Top du préliminaire ! Mon corps sursautait, dansait au rythme de ses câlins. Il me tourna à nouveau sur le dos. A mon tour je le couvris de baisers tendres et chauds, sa peau douce et imberbe était un délice à couvrir de bisous que je me mis à le lécher. Tout comme lui j’évitai les endroits trop délicats faisant monter ainsi la pression. Au fur et à mesure de nos échanges de tendresse, je ne mouillai pas, je « trempai ». Son sexe se raidissait de plus en plus ; il était long, épais, il m’aurait fait presque peur. J’embrassai ses testicules dures et gonflées, je les caressai du bout de mes doigts, des frissons parcouraient son corps. Je titillai ses tétons qui pointaient. Je me retrouvai de nouveau sur le dos. Sa bouche se plaqua sur mes seins qu’il lécha, aspira mes tétons longuement et les titilla en même temps. En une succession de baisers jusqu’à mon bas ventre, je sentis une langue chaude sur mon sexe. Il me lécha comme il aurait léché une glace, sa langue entra dans mon vagin, je me tortillai, me cambrai sous ce plaisir divin. Je compris qu’il voulait que je jouisse dans sa bouche. Les lèvres de mon sexe étaient gonflées. Il mit à butiner mon petit bouton, puis à l’aspirer doucement, puis de plus en plus fort ; je gémissais, je ...