1. Soumise aux ordres de mon Maître (4)


    Datte: 11/12/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    ... Elle gémit (ou peut-être était-ce moi?). Elle est trempée la gamine, avec sa petite chatte sans relief. J’engage le pic entre ses lèvres. Petit mouvement de bassin de mon Maître, le gland est entré. Elle chevauche fougueusement l’objet de tous mes désirs ! Je suis trop excitée, je monte en flèche, je n’en peux plus. Des sons stridents parviennent assourdis à mes oreilles, comme dans une sorte d’inconscience. Je me suis emparée de mon clitoris avec un plaisir qui se lit sur mon visage. Ils n’ont plus besoin de moi. Je lâche son braquemart dans une dernière caresse, croise mes bras autour de moi, je me serre fort, ça me fait mal. Ils sont beaux, elle débute une descente interminable sur MON jouet, je sens comme un frottement en moi, une longue introduction, un tiraillement au fond mon vagin, une crispation de l’utérus. Je me serre plus fort et j’entends un râle. C’est moi, je me tortille, ondule, je m’imagine à sa place. Ils se donnent l’un à l’autre, il a entouré de ses mains la taille toute fine de ce mannequin, et elle monte, elle descend. Ses seins ballottent, arrogants... eux aussi me narguent. Elle est belle, à chaque mouvement, elle irradie, une lumière se dégage comme témoin d’une montée violente de plaisir. Je sens tous mes poils se dresser. Oh Patrick ! Pourquoi? Ai-je parlé à haute voix? - Sophie! mgsmxxfc - hum? - Caresse-moi les bourses! Je m’avance, ses désirs sont loi. Je passe une main sur les reins et les fesses de l’autre, elle est douce. Je m’empare de ses ...
    ... couilles pour une prise en main de ses bourses en révolution. Je caresse à pleine main, du bout des doigts, je joue avec l’une et l’autre, je sens le bracelet qui orne son pieu, je joue, découvre et je rêve. Quel effet cela me ferait-il de sentir son gland taper mon fond, ses couilles en contact, la dureté du bracelet? Je coule encore. Je meurs d’envie d’être à la place de la taupe (elle gémit aigu, non?) ma main gauche retrouve le chemin sous ma robe. - Sophie! Non! Tu as eu ton orgasme ! À elle maintenant! Donne-moi ta main ! Fais-moi goûter! Je lui donne mes doigts de la main gauche, il les prend en bouche. On croirait qu’un fil est relié à mon clitoris, que je sens battre plus fort à chaque coup de langue. Des bruits obscènes de succion et les gémissements de contentement de cette petite pute sont devenus très forts : - Humm ! Je vais juter ! Gémit-elle. Ooohhh! Ça vient ! Je vais tout lâcher! Ah ! Baise-moi ! Baise-moi à fond! T’es un queuteur fantastique! Ce compliment répugnant, choquant, est musique à ses oreilles mais un supplice pour moi. Elle astique la grosse tige aussi dure qu’elle peut, ses lèvres intimes entrainées par l’épaisseur et la raideur de la trique. Elle s’acharne sur le piston gigantesque qui va-et-vient dans son vagin. Elle a hâte maintenant de sentir la décharge du Mâle, hâte de recevoir tout le sperme dégorgé par Patrick. Il saisit ses hanches, enfonçant sa tige de quelques centimètres supplémentaires entre ses lèvres intimes. Je n’ai pas lâché ses ...