1. Femme BCBG, escorte, non, pute… (48)


    Datte: 09/08/2017, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... minutes nous doubleront la rade de Toulon. Nous continuerons jusqu'à Marseille et continuerons jusqu'à Barcelone en Espagne. Nous contournerons les Baléares vers dix-huit heures. Nous ferons retour vers Saint-Tropez demain matin vers huit heures. Lorsqu’il y aura des choses à voir, à bâbord à tribord je vous préviendrais par la sonorisation. Je vous parlais de la rade de Toulon, nous la longeons en ce moment. Bonne journée. Il repart vers sa passerelle de commandement. J’ai pris avec moi mon petit sac à main. Je m’isole, et j’appelle l’organisation afin de leur demander de m’envoyer un commissionnaire afin que je lui remette la mallette de billets demain matin. Je rejoins les copains qui s’amusent dans la piscine. La journée se déroule dans une bonne ambiance. Nous-nous enduisons de crèmes solaires pour éviter les coups de soleil. Il serait préjudiciable à la soirée que nos clients ont payée en cash qui de nous déclare forfait, car ces fesses sont plus douloureuses à cause du soleil que de la fessée, nous pourrions infliger par jeu. Les hommes sollicitent les filles pour s’amuser un peu. Mais la chaleur les incite à refuser ces avances. Après avoir mangé avec Boris, nous réunissons avec beaucoup de mal toute la troupe, car nous sommes plus une troupe en représentation qu’en escorte prête à être baisée par nos clients. Nous préparons un petit scénario pour que le spectacle que nous allons donner à ces hommes soit aussi consistant et hard que celui d’hier. • Je suis déjà ...
    ... venu, la durée importe peu, car lorsque le propriétaire du yacht le décide, ils partent même si nous prévoyons de nous éclater deux heures de plus. Comme il nous la promis, toute la journée, Charif nous donne des renseignements sur notre parcours. Nous venions de doubler les Baléares lorsqu’il est venu nous ramener dans nos cabines. Je reste dans la chambre des filles à leur poudrer le nez pour éviter la pâleur des projecteurs. Pimpant et nu, Cherif nous guide jusqu’au salon, lieu de nos ébats. Les hommes ont remis la tenue qu’ils avaient hier pantalon et nœud papillon sur leur torse nu. La seule différence par rapport à hier, ce sont les couleurs qui changent. Dans le salon, les fauteuils des turbans sont placés en demi-cercle face au tapis. Le tapis persan d’hier a été remplacé par un tapis à nuance bleue. La musique démarre, les lumières s’allument. Nos trois baraqués avec Boris à leur tête s’élancent dans le cercle de lumière. Ils entament une danse endiablée avec une chorégraphie parfaitement huilée. Tous les mouvements sont en tout point impeccable. Leur final est traditionnel, ils arrachent leurs pantalons et les balances à travers la pièce. À la différence des danseurs pour pucelle en quette de soirée de clôture de vie de jeune fille, les trois garçons nous font apparaître un sexe prêt à combattre avec nous. Adonis bande déjà aux trois quarts. Un autre morceau est diffusé, ils se retournent vers nous. Ils s’approchent et six mains m’empoignent, je me retrouve allongé ...