1. Bonjour Ténériffe (2)


    Datte: 12/12/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    ... tenues courtes disons, mais son petit sourire avant qu’il ne me regarde à nouveau me confirme ce qu’il me dit toujours ; pour lui, aucune autre ne peut se comparer à moi. Oh, je le sais flatteur, mais mon instinct, mon intuition me le confirment et me rassurent. Et puis, il sait que j’ai un stock d’acide, de chaux vive et une hache bien aiguisée dans le garage ! Mais laissons les anecdotes de couple de côté pour en revenir à notre sortie. Je suis en short court et débardeur serré, alors je le sens aussi se tendre quand d’autres mâles passent et me scrutent Ah ces hommes ! Vite faisons retour à la caverne. Je lui souris et il me répond de même, inconscient de mes pensées. Il se demandait si je l’aimais encore, mais comment pourrais-je ne pas aimer celui qui me comprend si bien et me suit (précède parfois) dans mes envies ! Je pense à nos derniers jeux à trois. C’est fort plaisant, très jouissif mais sans lui, je me sentirais, disons amputée de sensations. Comme s’il l’avait senti, il me tire vers lui, me serre et m’embrasse. Finalement, nous revenons à notre chambre et décidons de profiter à nouveau des installations du sous-sol et surtout des douches parfumées.; Avec évidemment l’envie de nous y amuser. Nous descendons et une fois dévêtus et dans le bassin, évoquons la journée passée. Au bout d’un moment, Axel m’indique que la jeune femme si observatrice d’hier est de nouveau revenue. Je la regarde et encore une fois, c’est un petit jeu de regard qui se met en place. Il ...
    ... dure et reprend au gré de nos longueurs. Mais, cette fois j’ai envie de m’amuser un peu plus... Je souris à mon mari qui, d’un câlin dans le cou me montre sa confiance et son amour. Nous faisons ensuite quelques brasses et, après un aller-retour ou deux, je stoppe à hauteur de la dame et engage la conversation sous prétexte de renseignements. Elle me répond en allemand et j’apprends rapidement que c’est son dernier jour de vacances et qu’elle est une cliente assidue de l’hôtel et des installations. Elle se nomme Sibylle et je nous présente à tour de rôle. Vu la profondeur de l’eau, nos poitrines sont bien visibles et comme elle, je la regarde fixement de temps en temps. Je la scrute, la laisse voir que je mate bien puis reprends la discussion... Je me sens excitée, j’ai envie de l’exciter. Dans ma tête je me dis que tout va vite, mais en même temps je n’ai plus envie de me freiner, de... ah oui, rater le train du plaisir. Axel a raison, Sibylle pose régulièrement et comme malgré elle le regard sur ma poitrine. J’adore cette sensation, je me sens maîtresse de la situation. La voir rougir, voir les gouttes de sueur sur son front, ses narines qui palpitent et sa poitrine qui se soulève me donne envie d’elle. Je n’avais jamais eu de relations saphiques avant les Canaries mais là en plus, c’est l’excitation, l’envie de diriger qui me démange. Ah, j’adore ce sentiment, l’excitation physique et intellectuelle... Un autre qui adore, c’est Axel qui s’est rapproché de moi et nous regarde ...
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