1. Jasmine : princesse et salope (6)


    Datte: 13/12/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    ... l’hymen intact de Jasmine. Puis, alors qu’il la branlait vigoureusement d’une main, il commença à jouer avec son anus avec son autre main. — Tu n’aimes pas trop quand je te touche là, n’est-ce pas ? — Vous pouvez… Mmmhh… me toucher où vous voulez, maître… — Et comment appelles-tu cet endroit, trainée ? — Je pourrais dire « anus » mais je suppose que vous préférez cul, fion, trou du cul ? — Parfait, esclave. Tu fais d’énormes progrès ! — Voulez-vous me doigter le cul, maitre ? Le Génie ne se fit pas prier et, alors qu’il était en train de jouer avec l’œillet serré de Jasmine, il enfonça son doigt d’un coup. Jasmine ouvrit la bouche de surprise et de douleur car s’était la première fois que quelque chose rentrait dans cette partie de son anatomie. Le Génie, très excité, profita de cette situation pour cracher dans la bouche de Jasmine qui avalât sans se poser de question. Elle était elle-même manifestement très excitée car elle rouvrit la bouche en gémissant pour attendre la deuxième salve. Le Génie cracha à nouveau en elle, puis accéléra son mouvement, tant sur le clitoris de Jasmine que dans son ...
    ... cul. Elle jouit au bout de quelques minutes seulement. — A genoux, maintenant. Jasmine obéit et regarda son maître avec un air de soumission la plus totale. — Veux-tu que je vienne sur ton visage ou dans ta bouche ? — Dans ma bouche, maitre. Je n’ai pas mangé de la journée et j’ai faim… Cette justification fit rire le Génie qui sortit son sexe et se masturba devant la bouche ouverte de la Princesse. Il ne voulait pas se faire sucer, il voulait juste se servir de Jasmine comme d’un mouchoir. Lui aussi jouit rapidement et il remplit la bouche de son esclave qui dût s’y reprendre à deux fois pour avaler toute la semence. Elle donna également un coup de langue sur le gland du Génie pour récupérer une dernière goutte de foutre qui suintait. — J’ai encore faim, maitre… — Je m’en doute. Tu devras te contenter de fruits et de légumes ce soir, même si je sais que tu préfères le foutre. Je sors à la taverne. Il se peut que je me serve à nouveau de ta bouche en rentrant, nous verrons. En attendant, dors. Demain, tu n’iras pas à l’école, nous resterons ensemble. — Bien maître, merci. Bonne soirée. A suivre... 
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