1. L'ADULTERE DE MA FEMME ME DONNE DES AILES...


    Datte: 13/12/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    Bizarrement, l’adultère de ma femme avait déclenché chez moi une augmentation de ma libido pour elle. Il ne s’était pas passé un jour dans la semaine sans que je la baisse. Un après-midi que nous étions seuls à la maison, dans le salon, ma femme était à quatre pattes sur le divan pendant que je la prenais par derrière, en levrette. Alors que je la besognais je lui demandais si elle souhaitait jouer à un petit jeu. - Oui… répondit-elle d’une voix rauque. Ma femme était du genre de tout accepter quand l’excitation la submergeait. - Imagine maintenant que ça ne soit pas moi qui te prenne ainsi, mais je ne sais pas qui ? Un voisin, un inconnu, un collègue à toi ou à moi… Elle commença par protester : - Pourquoi pensé à ça. Je te dis que je suis bien avec toi et toi seul. Je ne pourrais pas me faire prendre par un mec que je n’aime pas… Je remarquais toutefois que ses fesses allaient plus volontiers à la rencontre de mon sexe. J’avoue que je ne la prenais pas comme d’habitude, mais plus fort, plus profondément. Je me laissais même aller à entrer trois doigts dans son petit trou devenue très accueillant ses derniers temps. Elle me semblait même plus humide que d’ordinaire. Et comme par hasard elle jouissait beaucoup plus vite. Le soir même dans notre lit, encouragé par ce qui s’était passé l’après-midi, j’avais renouvelé ma demande, mais là en ajoutant un prénom. Et pas n’importe lequel, vous vous en doutez bien. Dans le noir j’avais demandé à mon épouse d’imaginer que ...
    ... c’était donc le fameux Patrice qui la prenait. Elle avait longuement refusé mais fort d’une puissante persuasion, elle avait finit par céder. - Seulement pour le jeu, avait-elle déclaré. Elle se plaça d’emblée sur le dos, me serra le corps avec ses cuisses, et appuya elle-même sur mes fesses pour que je la pénètre plus profondément. - Tu joues le jeu ma chérie. Il n’y a plus d’Alain, mais Patrice. Après quelques instants de flottement, elle commença à gémir en disant. - Vas-y Patrice, prends moi fort, baise moi, vas-y, vas-y… - Plus tu m’appelleras par ce prénom plus je te bourrerais le cul… Comme elle jouait le jeu, je la besognais de plus en plus fort, m’agrippant à ses seins, en pinçant les bouts. Puis je la retournais et la pris en levrette. Elle bougeait son cul tellement fort que j’en avais mal aux couilles. Je lui donnais des claques sur les fesses, alors qu’elle se dandina. - Alors ma belle… ton mari ne te prend pas comme ça, hein ? C’est bon, non ? - Oh vas-y mon Patrice, bourre moi plus fort, c’est trop bon… Elle dansait autour de mon pieu tendu comme rarement. Il était à la fête comme jamais il n’avait été. Avec un tel traitement, elle ne tarda pas à jouir. Et comme s’était contagieux, je ne tardais pas de mon côté, à transférer le jus de ma jouissance dans son antre. Le lendemain, alors que j’abordais le sujet librement avec elle, je la sentais comme gênée, au point que je dû couper court et passer à autre chose. Le week-end suivant, elle me proposa de l’emmener au ...
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