Croisière Scolaire (6)
Datte: 21/06/2017,
Catégories:
Gay
... yeux et dans moi, blotti dans les bras de mon mec, de mon homme, mais aussi, de mon Mac… Je savais ce qu’il attendait de moi… Il m’a repris encore une fois…son appétit semblait insatiable et il m’a raccompagné jusqu’à ma cabine… - Tu es à moi maintenant… Je te veux ma femelle soumise, j’ai de gros besoins, et tu le sais... Mais je veux aussi que tu donnes du plaisir à mes potes… Un Max…. Les Arabes de Las Planas ont trop besoin d’une bonne salope comme toi, ils ont trop peur d’engrosser une nana… Avec la chatte que tu as maintenant, ce serait dommage de ne pas leur en faire profiter, non ? Il devait être plus de 2 heures du matin quand j’ai enfin rejoint ma cabine, après un autre baiser fougueux, en espérant fort que mes colocs dormiraient à poings fermés. J’étais tellement épuisé que je n’ai jeté qu’un regard vers la porte de la salle de douche… Je puais le foutre, le mâle, l’odeur de Patrick collait à ma peau, mais je n’avais pas le courage de me passer sous l’eau… De toute façon, la cabine était emplie de ce « subtil arôme » de fauve que dégagent 4 ados aux hormones en ébullition, le jus de couilles n’en étant pas exclus…. Loin de là…. J’étais devenu expert maintenant pour le reconnaitre… J’occupais une des deux couchettes du bas, et je me suis affalé sur mon lit, sans prendre la peine de me déshabiller et savourant ce repos, la chatte bien endolorie après tout ce qu’elle avait subi, mes rétines imprégnées du spectacle du Stromboli, et mes narines emplies des effluves de ...
... mon homme… Dieu qu’il sentait fort le mâle, ses phéromones s’accrochaient à ma peau quand ses poils se frottaient partout sur moi, Dieu qu’il était velu... !!! Je commençais à sombrer dans un demi-sommeil bien mérité quand en tournant la tête, j’ai vu Sylvain, allongé sur la couchette en face de moi qui branlait sa bite, de fort bonne taille, en me regardant droit dans les yeux… Je le connaissais un peu, il était en Maths, mais il avait conservé l’Option Anglais Renforcé, et nous étions en cours ensemble 2 heures par semaine. Nous n’étions pas particulièrement amis, mais j’appréciais quand même de le reluquer de temps en temps, discrètement, beau métis né de père antillais et de mère métro, et habitant dans notre quartier, pas très loin de chez Patrick, il me semblait. ifviqqzu L’espace entre nous étant plus que restreint, et tout en continuant à branler sa queue, moins grosse que celle de Patrick, mais de fort beau calibre quand même, il s’est approché de moi pour me parler à voix basse… — Tu pues le foutre Michel, tu pues le mâle… Je suis persuadé que tu t’es fait défoncer à mort sur ce bateau…. Et je suis sûr que tu en crevais d’envie depuis longtemps… c’est ça non ? J’étais désemparé, je venais de me faire griller par Sylvain, que j’aimais bien mais dont je ne pouvais absolument pas savoir quelle réaction il pouvait avoir. C’est vrai que je puais le foutre et l’homme, il m’était impossible de le renier… J’attendais passivement sa réaction… Elle fut très simple… sa bite ...