1. Celui qui ne boit pas. (2)


    Datte: 14/12/2018, Catégories: Inceste / Tabou

    Ma vie est devenue d’un ennui mortel. J’ai beau avoir de la thune et une belle femme, je m’emmerde. Mon épouse ne me fait plus bander depuis un bon bout de temps. En fait, si je l’ai épousée, c’était surtout pour me rapprocher de son banquier de père. J’avais, en effet, besoin d’un gros investisseur pour monter mon entreprise. Il ne pouvait rien refuser à son gendre. Et puis sa fille était dingue de moi, alors je me suis convaincu que c’était réciproque. Les années ont passé et l’illusion s’est levée. Elle est devenue fade, insignifiante, chiante. Aujourd’hui, mon entreprise prospère et j’ai de l’argent à ne plus savoir qu’en faire. J’ai atteint mes objectifs et je m’emmerde. Il y a bien eu cette secrétaire que je me suis faite et qui m’a redonné un peu de goût, mais à part ça, rien d’autre. Les arbres défilent sous la lumière de mes phares et je roule seul, dans la nuit, bercé par le ronronnement du moteur. Des panneaux directionnels apparaissent. C’était quoi, le nom du bled qu’elle m’a donné, au fait ? Je regarde l’adresse que j’ai griffonnée sur un bout de papier : Solérèse. Ah oui, c’est ça ! Je prends donc la direction de ce patelin paumé. Après plusieurs minutes, j’aperçois une jeune fille blonde dans une robe blanche faire du stop. Je rigole, me moque d’elle. La pauvre, faire du stop à cette heure de la nuit, elle ne va pas trouver grand-monde ! Bon, c’est vrai que j’aurais pu m’arrêter – elle était plutôt bandante – mais je n’ai pas le temps : ma nièce m’attend. ...
    ... C’est un coup de fil qui m’a réveillé en plein milieu de la nuit. C’était elle ! Elle s’est encore retrouvée dans je ne sais quelle soirée et avait besoin de quelqu’un pour venir la chercher. Et comme d’habitude, qui c’est qu’elle appelle dans ces cas-là ? Son « tonton chéri », comme elle aime me surnommer. Elle sait que je lui refuse rarement mon aide, mais va falloir qu’elle apprenne un jour à se démerder par ses propres moyens ; je ne vais pas toujours m’amuser à voler à son secours. Il me faut un bon quart d’heure pour atteindre la petite commune de Solérèse et quelques minutes de plus pour trouver la bonne adresse. Mes nerfs me chauffent ; elle avait vraiment besoin d’aller se perdre si loin dans ce coin ? Je la trouve en compagnie de trois gars devant une grande baraque. Elle s’est appuyée le long d’un des types qui en profitent pour lui foutre la main au cul. Je me gare, sors de la voiture et pars à leur rencontre. — Cassandra, c’est moi ! déclaré-je, agacé. — Oh, tonton chéri… tu es enfin arrivé ! s’exclame-t-elle en se jetant dans mes bras et en manquant de trébucher. Une forte odeur d’alcool émane d’elle. Elle tient à peine sur ses jambes. Elle est bourrée, comme d’habitude. — Putain, Cassandra, tu es complètement torchée. Tu sais que ta mère déteste te voir dans cet état ? — Oh, ça va. Je suis majeure, je fais ce que j’veux. Je l’accompagne à la voiture tout en la maintenant pour ne pas qu’elle tombe. Je l’aide à grimper à l’intérieur tout en frôlant son cul au ...
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