1. Mon compte est bon


    Datte: 14/12/2018, Catégories: couple+h, fhhh, hplusag, fplusag, hagé, extracon, fsoumise, hdomine, photofilm, Oral pénétratio, double, Partouze / Groupe fdanus, fsodo, confession,

    Résumé : Dans le cinquième et avant-dernier épisode, vous avez découvert comment j’ai appris que Mathilde a revu Bernard et de quelle façon il l’a sauvagement baisée. Elle a adoré. Nous y voilà. Deux mois ce sont écoulés depuis le dernier épisode. Mathilde m’a quitté quinze jours plus tard n’y tenant plus. J’ai eu beau prendre soin d’elle, la chouchouter, la câliner, rien n’y a fait, j’avais l’impression d’être en face d’un bloc de granit. Elle ne m’aime plus, ça ne fait aucun doute. Je sais maintenant que le jour où j’ai reçu le DVD, soit une quinzaine de jours après qu’elle fut allée chez Bernard, elle n’était pas en déplacement, mais avec Bernard les deux jours. Mathilde est quelqu’un d’entier. Elle a quitté son premier mari de la même façon. Elle l’a trompé, puis elle est partie. À l’époque c’était avec un ancien militaire mythomane qui lui avait promis monts et merveilles. Elle l’a quitté avec près de 45 000 € de dettes que nous avons mis 20 ans à éponger. Et maintenant elle est amoureuse et elle est prête à tout et n’importe quoi pour vivre pleinement son nouveau délire. C’est en rentrant qu’elle m’annonce qu’elle me quitte. Quand je lui demande pourquoi : — Écoute chéri ! Je ne t’ai pas épousé pour que tu me traites de tous les noms. Alors tant qu’à être la pute, la trainée ou la chienne de quelqu’un, autant que je choisisse avec qui. Moi je voulais être ta femme pour que tu m’aimes en tant que telle. Maintenant, je pars avec Bernard parce que j’aime qu’il me traite ...
    ... comme il le fait. Tu n’as rien compris. Tant pis pour toi. Elle boucle une petite valise, prend quelques affaires personnelles puis quitte la maison sans même que je puisse lui dire quelque chose. Aucun mot ne sort de ma bouche, je reste là, à la regarder passer. Je reste un long moment debout dans le salon à regarder la porte d’entrée close. Puis je suis allé dans la chambre, la salle de bain, comme pour me réveiller de ce cauchemar et pour bien me rendre compte qu’elle est partie. Partie, sans rien ou presque, pas une photo, pas un souvenir, rien qui nous relie, rien de ce qu’on a en commun. Vingt ans de mariage biffés d’un claquement de porte. Elle m’a rayé de sa vie comme on tourne la dernière page d’un mauvais roman, roman que l’on sait que jamais on ne le relira et qu’on pose sur une étagère, dans un vieux tiroir ou jette négligemment dans la première poubelle venue. Depuis, je suis en pleine dépression. J’ai été remercié à mon travail. Je suis au chômage, assez confortable pour que je puisse continuer à vivre, mais il va me falloir en retrouver, me reconstruire. Ce n’est pas en me bourrant la gueule comme je le fais tous les soirs que je vais y arriver. Je profite de ces quelques moments de clarté pour finir d’écrire cet épisode qui me pèse car je ne sais par quel bout le prendre. Alors je vais vous le donner comme il vient. Vous me pardonnerez. J’espère. Je suis donc au chômage depuis une semaine. Depuis presque deux mois, tous les soirs je me bourre la gueule. Mon ...
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