S'organiser - Histoires de Sexe

S'organiser

... toi, tes protestations ne font pas sérieux. Tu ferais mieux de dire que tu aimes te faire enculer. Si Flora arrête ses protestations, elle ne veut pas convenir de la chose. Il insiste : — Allez Flora, pas de fausse pudeur, dis que tu aimes ça et que tu veux que je continue à t’enculer. Ce disant, il ralentit le rythme et se recule un peu. La réaction est immédiate, elle lance ses fesses en arrière et clame : — Oui ! Oui ! J’aime ça ! Continue… Continue de m’enculer. Vas-y fort. Défonce-moi !— Je suis aux ordres de madame la Ministre. Il se déchaîne et travaille la rondelle de la dame sans ménagement. Elle ne s’en plaint aucunement et vient au-devant du pieu qui la fouaille fort rudement, réclamant : — Encule-moi… défonce-moi… laboure-moi la rondelle… mets-moi bien au fond… oui, comme ça, continue… Seuls quelques gémissements de plaisirs interrompent la litanie. À neuf heures du soir, cela fait cinq heures qu’il s’occupe de madame la Ministre. À plusieurs reprises, le téléphone de celle-ci a sonné, elle n’en a eu cure et a poursuivi la joute. C’est maintenant à sa porte que l’on sonne sans que cela l’émeuve plus, mais cela inquiète un peu Bernard, qui voyant qu’on insiste, et de crainte que l’on finisse par entrer lui commande : — Va expédier l’importun et reviens. Elle saute sur ses pieds et part au galop vers la porte. Elle demande : — Qui est là ? Bernard ne comprend la réponse. Flora répond : — Je suis occupée. Je ne veux pas être dérangée. Sans s’inquiéter de l’autre qui ...

... insiste, elle revient vers Bernard : — À genoux et suce-moi. Et c’est reparti, et cela dure. Après lui avoir fait unfist vaginal et un autre anal qui n’ont suscité pas plus de protestation que le reste, au contraire, la dame a manifesté son contentement. Un peu après sept heures du matin, Bernard songe qu’il va devoir bientôt songer à retourner au travail. Et quitter Flora. Il pense alors que c’est elle qui a fait nommer Anne Ladigo, la directrice et que cela mérite bien un châtiment pour lui avoir empoisonné la vie. Ce qui lui vient à l’esprit, c’est une fessée. Il fait relever la ministre et s’assoit. Il la laisse debout devant lui et la gourmande comme à une gamine mal élevée : — Eh bien, madame la Ministre, ta conduite n’est pas très convenable. Est-ce bien une manière de se conduire pour quelqu’un qui représente la République ? Tu ne dis rien ! Eh bien, moi je ne crois pas. Je pense que cela mérite d’être sanctionné. Il l’attire sur mes genoux. Elle ne dit mot et se laisse aller. Même lorsque les claques commencent à résonner, elle ne se rebiffe pas. Après une longue fessée, Bernard cesse, non parce que Flora proteste, elle a même l’air d’apprécier, mais parce que sa main le chauffe. Le postérieur de la dame a pris une belle couleur carmin. Bien qu’il ait arrêté la punition, elle reste allongée sur ses genoux fesses offertes. Elle semble attendre la suite pense-t-il. Eh bien, ne la décevons pas. Il la courbe sur l’accoudoir du canapé, prend sa ceinture lui cingle le cul ...