1. S'organiser


    Datte: 09/08/2017, Catégories: fh, hplusag, Collègues / Travail enceinte, humilié(e), Oral 69, fist, pénétratio, fdanus, fouetfesse, fantastiqu,

    ... samedi.— Êtes-vous à l’hôtel ?— Oui.— En ce cas, retrouvons-nous-y vendredi soir.— Ça ne va pas être possible le vendredi, car je suis dans une chambre avec une collègue. Par contre, elle part le samedi et moi je peux prolonger mon séjour jusqu’au dimanche. Rendez-vous est pris. Le samedi soir après le départ des séminaristes, pour éviter les cancans, il rejoint l’hôtel où Amandine l’attend en peignoir. Elle approche la quarantaine. Elle est plutôt petite, bien en chair, ses cheveux châtain coiffés à Jeanne d’Arc, ses yeux marron sont cachés par des lunettes. Elle a un certain charme : — Bonjour Monsieur Lemua…— Appelle-moi Bernard, ça me paraît plus approprié.— Bonjour, Bernard, entre. Il la sent nerveuse et pour abréger l’attente, il lui fait la bise pour la saluer. De fait, il ne lui faut pas une minute pour qu’elle soit nue et l’aide à se dévêtir. Les trois heures suivantes se passent de la plus agréable des manières. Il se dispense de toutefois des fantaisies qu’il avait pratiquées avec Caroline et la ministre. Ils vont de concert prendre une douche. Une fois habillés, elle l’invite à prendre un verre : — Merci, Bernard, en plus ça a été bon.— C’est moi qui te remercie.— Euh… J’ai une suggestion à te faire. Voilà, tu m’as évoqué ton problème, de mon côté je connais nombre de femmes qui seraient ravies de pouvoir bénéficier de ton… don. M’autorises-tu à leur en parler ? Il reste silencieux quelques secondes : — Effectivement, cela m’aiderait.— Cela arrangerait tout le ...
    ... monde.— J’accepte, mais à une condition, que mon nom ne soit pas divulgué.— Cela va de soi. M’autorises-tu aussi à parler de ton cas à quelques collègues de confiance ? Nouveau silence méditatif de Bernard. Effectivement, pense-t-il, Amandine ne peut m’amener qu’un nombre limité de femmes. Pas de quoi tenir six ans. Avec d’autres médecins dans le circuit, les possibilités sont multipliées. Ce qui lui éviterait d’avoir à prendre des femmes au hasard, ce qu’il redoute par-dessus tout. Il donne son accord. Le jeudi suivant, elle lui téléphone pour annoncer que deux de ses patientes se sont déclarées prêtes à suivre ce qu’elle appelle : « Le traitement spécifique ». Le lendemain soir, Bernard prend le train. Les jeunes femmes viennent le retrouver à son hôtel successivement. Il passe deux heures à mettre en route les futurs héritiers. Ce que la seconde de ces dames apprécie fort. Elle lui glisse même : — Même si ça ne marche pas, ça valait la peine.— N’ayez crainte, ça marchera.— Alors le plaisir sera joint à l’efficace. Ce traitement est plus agréable que tous les autres que j’ai suivis. Avant de repartir, Bernard fait une petite visite au temple. Comme il va pour repartir, il croise la fermière, qui nullement gênée par leur précédente rencontre, s’approche et lui susurre à l’oreille : — Mon mari n’est pas là. Et elle l’embrasse à pleine bouche. Contrairement à ce qu’il croyait, il ressent le déclic. Il se rappelle alors des paroles de Rosmerta qui lui avait dit qu’une femme dont ...
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