S'organiser
Datte: 09/08/2017,
Catégories:
fh,
hplusag,
Collègues / Travail
enceinte,
humilié(e),
Oral
69,
fist,
pénétratio,
fdanus,
fouetfesse,
fantastiqu,
... tranquille et son retour si pénible, qu’il n’a pas résisté à s’occuper de nouveau d’elle. Cela s’est passé un jeudi après-midi. Il a exceptionnellement fait une entorse à sa règle de réserver ce jour-là à Marion et à Julie, car l’occasion s’est présentée. Elle a tendance à l’éviter, se sentant mal à l’aise en sa présence, mais ce jour-là, il y a réunion de direction dans le bureau directorial. Il s’arrange pour la toucher. Après le contact, il sent le malaise de sa chère directrice s’installer. Elle en abrège même la réunion. Il part avec les autres participants. Il laisse passer un bon quart d’heure avant de revenir chercher un dossier qu’il a « oublié ». Avant d’entrer, il branche un enregistreur : — Veuillez m’excuser de vous déranger, j’ai oublié un dossier sous mon siège, puis-je le récupérer ?— Bien sûr, faites, répond-elle d’une voix atone, le regard fixe. Elle tremble d’effort à se contenir. Il prend les documents : — Je les ai, merci. Vous n’avez pas l’air dans votre assiette, peut-être devriez-vous rentrer chez vous. Il la prend par le bras et la faisant s’asseoir : — Asseyez-vous. Voulez-vous que j’appelle un taxi ?— Je n’ai pas besoin de taxi… J’ai besoin de baiser. Ce disant, elle s’accroche à son cou pour l’embrasser. Il murmure à son oreille : — C’est d’accord, si je peux prendre quelques photos en souvenir.— Oui, tout ce que tu veux, mais dépêche-toi, j’ai trop envie Anne et lui se retrouvent rapidement dévêtus. Par la porte qu’il a pris soin de laisser ...
... entrebâillée, la secrétaire n’en perd pas une miette. Il la prend d’abord sur son bureau, bousculant quelque peu les dossiers, puis en levrette sur le tapis. La gardant à quatre pattes, il entreprend ensuite de l’enculer. Elle ne manifeste aucune réticence. Elle y met même une franche bonne volonté écartant ses fesses à deux mains et les tendant avec fougue. Bernard repense alors à Valériane. Il faut qu’elle voie que, comme elle, sa patronne le prend dans le cul. Il sort de l’accueillant fourreau, s’allonge sur le sol en s’arrangeant à être bien dans l’axe de la porte, l’attire à genoux au-dessus de lui et s’ajuste à la porte étroite. Elle fait montre du même zèle en s’aidant des mains pour s’ouvrir et se laisse aller sur le pieu tendu. Il l’encourage : — Frictionne-toi la chatte, ce sera encore meilleur. Elle trouve l’idée bonne et obéit avec diligence. Trois heures durant, jusqu’à six heures, il la besogne. Voulant poursuivre jusqu’au lendemain et pour ce, ne pouvant rester sur place, à cause du personnel de ménage, il donne une petite claque sur le postérieur de sa directrice en disant : — Habille-toi. On va aller à l’hôtel à côté, on sera plus tranquille et on aura tout notre temps. Oubliant compagnon et enfants, elle se rhabille prestement. Ils sortent de concert. En passant devant Valériane, il suggère : — Peux-tu remettre un peu d’ordre dans le bureau d’Anne avant de partir ?— Bien sûr.— C’est très gentil, merci. Ta patronne n’a pas l’air rassasiée… Tu sais ce que c’est. ...