S'organiser - Histoires de Sexe

S'organiser

... surprise de la taille de l’objet. — Voilà, c’est fait. De toute façon c’était entré, il n’y avait pas de raison que ça ne puisse sortir. Elle ajoute malicieuse : — Ça doit te faire un vide, elle est d’une belle taille. Anne pince les lèvres et ne répond pas. Elle se dirige vers la salle de bain. Une fois habillée. Elle rejoint sa secrétaire et elles partent vers le devoir qui les appelle. En sortant de l’hôtel, elle se tourne vers Valériane : — Tu meurs d’envie d’avoir les détails.— Je ne te demande rien.— Mais ça te démange ?— Un peu.— Eh bien soit, je vais satisfaire ta curiosité. Ne pas garder ça pour elle, c’est un peu une manière d’exorciser ces dernières heures : — Pour ce qui s’est passé dans mon bureau, ce n’est pas la peine, tu étais aux premières loges.— Moins que toi lorsque c’était moi. Je ne suis pas venue m’installer pour regarder.— Ne m’interromps pas ! En arrivant, il m’a conduite dans la salle de bain et il m’a mis le tuyau dans le cul plusieurs fois. J’ai cru que ça allait me sortir pas la bouche, et puis pendant toute la nuit j’ai sucé, été baisée, enculée dans toutes les positions possibles ou peu s’en faut. C’est sur le matin qu’il a commencé par me mettre la main dans la chatte et il m’a enculée en même temps. Ça fait un sacré effet. Ensuite c’est mon cul qu’il a fisté. Il m’a dit qu’j’étais une grosse salope et j’ai dit que c’était vrai en le suppliant de continuer à me ramoner. Il m’a dit que j’étais une chienne qui oubliait mari et enfant quand il ...

... était question de se faire troncher et qu’cela méritait une punition. Alors il m’a collé une fessée, une vraie, pas un simulacre.— Ça se voit. Et tu n’as pas protesté.— Non, parce que pendant tout ce temps je prenais mon pied. Même lorsqu’il m’a mis la bouteille, j’ai tendu les fesses.— Je ne comprends pas ce qu’a Lemua pour que l’on perde ainsi toute pudeur et tout sens de la mesure. Il doit avoir un fluide ou je ne sais quoi qui nous rend accros au point de ne plus penser qu’à baiser. Tout le reste devenant secondaire,— Moi non plus, je ne me reconnais pas, ce n’est plus moi. C’est comme si quelque chose prenait le contrôle de mon esprit qui me pousse à ne plus penser qu’au sexe et à tout accepter de l’instant que ça dure et que je continue à prendre mon pied.— On accepte des choses que l’on a toujours refusées et même que l’on trouve humiliantes.— Et pourtant, je n’arrive pas à vraiment regretter.— Oui, parce que malgré tout c’est sacrément bon. En plus, ce qui est incroyable aussi, c’est qu’il puisse baiser pendant des heures sans apparemment fatiguer.— C’est vrai, c’est stupéfiant sa résistance. C’est… c’est presque inhumain. Au fait, ton mari a essayé de te joindre, mais ton téléphone était coupé. Il m’a appelée. Je lui ai dit que tu avais voulu faire un contrôle de nuit et que quand tu étais sortie, tu étais fatiguée, il était tard et que tu avais décidé d’aller à l’hôtel. Comme ça t’était déjà arrivé à l’occasion de réunions ou de conférences qui se prolongeaient, que tu ...