S'organiser - Histoires de Sexe

S'organiser

... cela n’a pas eu d’effet. À mon avis, si c’est son amie qui lui en donne une, cela aura probablement plus d’effet. Assieds-toi. Comme elle ne bouge pas, il la pousse sur une chaise, puis prend par le bras Anne qu’il amène sur ses genoux en lui disant de ne pas bouger ;— Allez, vas-y, c’est pour son bien. Elle a une fraction de seconde d’hésitation avant d’abattre sa main sur les fesses de sa patronne. Si la première claque est presque timide, les suivantes vont crescendo, et bientôt elles crépitent. Après cinq bonnes minutes, il l’arrête et aide Anne à se relever : — Dis-moi, tu ne trouves pas que ta secrétaire est plutôt gonflée de te flanquer une raclée, quand elle-même… n’est pas irréprochable sur ce coup-là. Ne penses-tu pas qu’elle mériterait elle aussi une petite correction. Anne est tout à fait de cet avis. Elle attrape illico elle-même Valériane pour la coucher sur ses genoux et lui rendre la monnaie de sa pièce avec conviction, mais cela n’a pas l’air de déplaire à Valériane non plus de se faire tanner le cul au point qu’il doit les arrêter, car elles semblent parties pour continuer la matinée : — Bon j’espère que cela va calmer vos ardeurs. L’heure avance, il va falloir rentrer dans les foyers. Les deux postérieurs ont une couleur rouge assez soutenue. Celui d’Anne un peu plus. Une fois tous lavés, avant qu’elles ne se rhabillent : — Il ne faut pas oublier vos achats. Pour le transport, il faut être discret. Il leur place les trois boules dans le cul, avant d’y ...

... enfoncer le plug. Et tous sortent de l’hôtel de concert. Bernard qui n’a pas encore rompu le contact « divin » est pris d’une inspiration en passant devant une boutique. Il y entraîne les deux jeunes femmes en disant : — Vous allez acheter des petits bijoux qui devraient faire plaisir à vos maris. Elles le regardent interrogatives. Il précise : — Mais c’est vous qui les porterez. Elles le suivent. Ils entrent. — Bonjour.— Bonjour monsieur-mesdames. Que puis-je pour vous ?— C’est pour ces dames, des piercings.— Oui, quel genre et où ?— Un sur le capuchon du clitoris et des anneaux en or sur les lèvres intimes. Ni Anne, ni Valériane ne protestent. Après le choix du matériel à poser, auquel elles participent, le vendeur propose : — Installez-vous sur les fauteuils. J’appelle mon associée, ainsi ce sera fait en même temps. Carole, peux-tu venir pour des piercings.— J’arrive dans deux secondes, Pierre, je finis de ranger les cartons. Elles s’assoient et discutent de ce que penseront leurs maris de ces ornements. Elles arrivent à la conclusion que cela devrait leur plaire. L’arrivée de l’associée met un terme à leurs suppositions. Les deux jeunes femmes mettent les pieds dans les étriers comme chez le gynéco. Pierre et Carole se regardent, mais ne pipent mot. Le spectacle qu’ils ont les étonne. Jamais en plusieurs années de carrière, ils n’ont rien vu de tel. Les sexes congestionnés de leurs clientes ne laissant aucun doute sur le fait qu’elles viennent de baiser, ça ils ont déjà vu. ...