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S'organiser
Datte: 09/08/2017, Catégories: fh, hplusag, Collègues / Travail enceinte, humilié(e), Oral 69, fist, pénétratio, fdanus, fouetfesse, fantastiqu,
... lubrifiant sur les doigts, mais cela était presque inutile tant l’endroit est naturellement lubrifié. Il met sa main en cône et se positionne à l’entrée de l’intimité. Il introduit le bout de ses doigts et appuie délicatement. Il regarde comme envoûté les chairs s’écarter et ses phalanges disparaître les unes après les autres, jusqu’à l’empattement. D’une dernière poussée, ce cap est franchi et la main se retrouve bien au chaud dans les profondeurs de la grotte d’amour. Marion a la bouche ouverte et la respiration courte. Les yeux écarquillés, elle contemple fascinée ce bras qui est comme une excroissance de sa féminité. Lentement la main réapparaît avant d’être de nouveau absorbée, et l’opération de se répéter. À un moment Bernard ferme le poing et l’enfonce en vrillant. Elle en a le souffle coupé, mais quelques minutes suffisent pour qu’une onde de jouissance la fasse longuement frissonner, tandis qu’il la pistonne. Quand elle a repris ses esprits, elle réclame : — Dans le cul maintenant. Il s’attelle à la tâche, mais là les choses ne se vont pas comme espéré. Elle grimace et ce n’est pas de plaisir. Il s’en rend compte et n’insiste pas et elle ne persiste pas dans sa demande. Pourtant sa main n’est guère plus épaisse que le gode qu’elle avait choisi et absorbé pour aller au restaurant. Cette différence suffit, à laquelle il faut peut-être ajouter que sa main n’est pas régulière, pour que Marion ne puisse l’accueillir dans son fondement comme elle l’espérait. Ils ...
... reviennent à des choses plus classiques. L’après-midi tire à sa fin quand elle lui susurre : — Tu ne trouves pas que je suis une vilaine fille dévergondée ?— C’est un peu vrai, mais je…— Qu’est-ce qu’on fait aux vilaines filles ? Il met quelques instants à réaliser ce que sous-entendent la question et la réponse qu’elle appelle. Il n’est d’ailleurs pas sûr de bien l’interpréter. C’est presque en hésitant qu’il dit : — Une fessée ? Elle acquiesce d’un hochement de tête. Il n’en revient pas. Décidément sa chérie veut aller au bout de ses fantasmes. C’est comme si elle se défoulait et voulait goûter à tout ce qu’elle n’a jamais évoqué jusque-là. Il hésite un bref moment, mais après tout si c’est ce qu’elle désire et qu’elle veut faire l’expérience… Il l’attrape par le bras et l’entraîne sur ses genoux. Elle s’y allonge complaisamment. Il regarde le fessier rebondi qu’il caresse tendrement, avant d’asséner une première claque sonore. Les fesses tressautent, mais Marion ne proteste, ni fait mine de se soustraire. Une seconde suit. Puis elles s’abattent tantôt lentes et vigoureuses, tantôt rapides et plus légères, parfois se transformant en cajoleries. Les minutes passent et les fesses se colorent. Quand il fait mine d’arrêter, Marion l’adjure de continuer. La « punition » se poursuit donc. Bernard ne cesse que quand ses mains crient grâce. Il dépose Marion sur le lit et lui enfonce deux boules dans le derrière, suivies par le plug et complète par trois dans la chatte. Il rompt alors le ...