S'organiser - Histoires de Sexe

S'organiser

... par se dégager et ordonne à sa directrice qui a repris son sérieux : — Va chercher de l’eau pour boire et pendant que tu y es aussi, pour se nettoyer un brin. Sans se formaliser du ton familier et comminatoire, elle obtempère. Ne voulant pas laisser Valériane inoccupée, il la pousse à quatre pattes et la réencule. D’un geste instinctif, elle tend les fesses. Quand Anne revient, se souvenant de sa propre expérience, elle n’est pas étonnée de voir le couple en pleine action. À son entrée, il quitte le pourtant si accueillant fourreau pour boire à longues rasades. En prenant la bouteille, il s’arrange pour toucher Anne, mais rien ne se produit. Ce qui lui confirme qu’elle a bien un polichinelle dans le tiroir. Dommage, il l’aurait bien sodomisée un bon coup, elle aussi. Il donne ensuite une grande claque sur les fesses toujours offertes de la secrétaire et lui présente sa queue : — Allez, nettoie ça. Sans manifester hésitation et répugnance, elle le suce et lèche consciencieusement du ventre aux cuisses. Tandis qu’elle œuvre, il demande à Anne : — Qu’est-ce qui te faisait tant rire tout à l’heure ?— En voyant Valériane se faire enculer avec tant de fougue tout à l’heure, j’ai pensé qu’elle allait avoir le cul comme un chou-fleur, et je me suis représenté à quoi cela ressemblerait. Elle éclate de nouveau de rire, mais se calme rapidement. L’heure de la sortie largement dépassée, il dit à la dirlo : — Il ne devrait plus y avoir grand monde, mais faut mieux que tu éclaires le ...

... chemin jusqu’aux douches. Il prend ses vêtements et ordonne à Valériane : — Lève-toi ! Ramasse des frusques, on va se laver. Elle obéit, récupère ses habits, sans même prêter attention à leur triste état. La petite troupe se met en marche menée par la directrice qui s’assure que la voie est dégagée. Arrivée à destination, elle dit : — Les vêtements de Valériane ne sont plus mettables. Je vais lui en chercher. Elle réussit à acheter, de justesse, une robe dans la dernière boutique qu’elle trouve encore ouverte. Quand elle revient une demi-heure plus tard, c’est encore pour trouver le couple en pleine copulation, sa secrétaire à quatre pattes se faisant ramoner la chatte, Bernard étant revenu aux voies naturelles. Le retour de sa patronne le fait dé-conner. Il ordonne de nouveau à Valériane de lui nettoyer la queue. Cela fait, il prend une douche rapide, s’essuie et se rhabille. Il se penche vers la secrétaire toujours agenouillée, l’embrasse sur le front : — Les meilleures choses ont une fin. Tu t’es bien éclatée, mais tu devrais te laver et rentrer chez toi, ton mari va finir par s’inquiéter. Après son départ, la jeune femme émerge lentement de l’état second dans lequel elle était plongée et revient aux réalités. Elle se douche. Une fois vêtue, elle balbutie : — Je ne comprends pas ce qui m’a pris. C’est comme si une force irrésistible me poussait. Plus rien d’autre n’avait d’importance que de me faire sauter.— C’est comme pour moi. J’avoue que je ne comprends pas, car il n’est ...